Regroupement des ressources alternatives en santé mentale du Québec
2439 Rue de Rouen H2K 1L8 Montreal, QC, Canada

Venez nous rejoindre demain entre 14h00 et 15h00 pour une activité de réflexion et de partage d'expériences!

ON VEUT VOUS ENTENDRE (VOUS LIRE EN FAIT MAIS BON)! Prenez dix minutes pour une bonne cause : participez à la collecte d'expériences et de réflexions sur le thème LA PANDÉMIE ET NOUS. https://docs.google.com/.../1FAIpQLSdB6ECehCpdsV.../viewform

APPEL À TÉMOIGNAGES ET EXPÉRIENCES SUR LA PANDÉMIE : faites circuler autour de vous!! Réécoutez l'animation La pandémie et nous, et profitez-en pour remplir le formulaire de collecte individuelle: https://docs.google.com//1FAIpQLSdB6ECehCpdsVCc1m/viewform

Pour être juste, cette relance postpandémie doit passer par des investissements pour améliorer l’éducation, les services de garde éducatifs, les soins de santé et les services sociaux, ou les services aux jeunes ayant des besoins particuliers, aux personnes en situation de handicap, ou encore pour améliorer l’accès à la justice, réaliser un vrai chantier de logements sociaux, permettre aux personnes aînées de vivre dans la dignité, adopter des mesures ambitieuses de lutte co...ntre la pauvreté et l’itinérance et une meilleure protection de la faune et de l’environnement, a mentionné Véronique Laflamme, porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU). Le milieu communautaire est lui aussi essoufflé. Déjà à bout de souffle après avoir essuyé les impacts des années d’austérité, les organismes communautaires se sont relevés les manches pour faire face à la pandémie. Mais pour combien de temps arriveront-ils à garder le cap si des investissements majeurs [ne] sont pas au rendez-vous rapidement? a avancé Tristan Ouimet-Savard du Réseau québécois de l'action communautaire autonome (RQ-ACA).

Un bref portrait de la santé mentale des personnes aînées en contexte de pandémie. La déprime et l’anxiété des participants ne sont peut-être pas étrangères au fait qu’une proportion importante d’entre eux étaient séparés de leur famille (59,1 %) ou incapables d’avoir accès à leurs soins de santé habituels (22,5 %), quand ils n’ont pas subi une perte de revenus (17 %). Plusieurs se sont aussi avoués incapables d’accéder aux provisions ou à la nourriture dont ils avaient besoin (12,9 %) ou de prendre soin de personnes qui avaient besoin d’aide en raison d’un problème de santé ou de limitations (11,5 %), et certains ont eu des proches malades (8,6 %).

Un document intéressant qui nous arrive de la Belgique, sur les liens entre pauvreté, exclusion et santé mentale dans ce contexte de pandémie. Nous reconnaissons une parenté de pensée : Réaliser et améliorer le droit à un logement décent, à la sécurité alimentaire, à un revenu de remplacement, à des conditions de travail respectueuses; contrer les inégalités dans la répartition du pouvoir, de l’argent et des ressources, inégalités qui se sont davantage révélées au grand jou...r ces derniers mois, ces éléments participent et, donc, améliorent la santé mentale de la population générale. Dans le contexte de précarité qui caractérise notre époque, c’est la vulnérabilité constitutive de chaque être humain qui est mise à mal. Personne ne peut rien seul. Le lien social est la reconnaissance de cette vulnérabilité de base qui, quand il fonctionne bien, entraine l’obligation d’une dépendance et d’une reconnaissance réciproques. Aujourd’hui, nous voyons le lien social mis à mal, réduit par obligation sanitaire, accéléré dans une virtualisation qui isole chaque personne de son environnement proche. La fragilité devient source de peur, de repli, de rejet et précarise la situation sociale et psychique de chacune. Une politique de santé mentale doit viser à mettre en place des pratiques qui ont le souci de promouvoir, maintenir ou restaurer la capacité de chaque être humain à vivre et à souffrir. Il y a des conditions pour faire advenir cette capacité pour le plus grand nombre. C’est le refus de l’exclusion sous toutes ses formes. C’est la capacité d’investir dans toutes les productions même non normatives. C’est être attentifs à ne pas psychologiser les problèmes de société, tout en prenant en compte les affects et les représentations qui circulent qui disent toujours quelque chose de notre vivre ensemble . C’est éviter la sanitarisation des problèmes sociaux. Les inégalités sociales ne sont pas des problèmes médicaux, mais politiques. Et le soin est un des éléments d’appui pour une politique sociale à la fois plus égalitaire et permettant à chacune de pouvoir participer au geste social, y compris de façon atypique.

LA SANTÉ AU-DELÀ DE LA MÉDECINE : APPROCHES ALTERNATIVES, COMPLÉMENTAIRES ET GLOBALES C'est aujourd'hui que parait en kiosque le tout dernier numéro de la Revue Relations dont le slogan "Pour qui veut une société juste" résonne si fort pour nous. Dans ce numéro, nous avons l'honneur de signer un court texte sur le Mouvement alternatif en santé mentale, en collaboration avec nos partenaires de l'Agidd-Smq, en page 24. Vous y trouverez également d'excellents textes sur la Clin...ique communautaire de Pointe St-Charles, sur la médecine intégrative, sur l'humanité des patients, sur les approches féministes en santé, en plus des très belles illustrations de Sandrine Corbeil. En plus, on peut y voir une publicité du RRASMQ en page 40! Bref, c'est un très beau numéro que nous vous encourageons à acheter si vous en avez les moyens. #approcheglobalesantémentale #alternatives #santémentale

Waskapitan, c'est aujourd'hui.

Gros coup de coeur pour cette campagne de sensibilisation et de conscientisation, pleine d'humour et de créativité! Nous vous la partageons aujourd'hui parce que la lutte aux préjugés de toutes sortes (et à la discrimination), c'est central pour favoriser la santé mentale de tout le monde! #approcheglobalesantémentale

Devinez dans quelle revue, en kiosque vendredi, est imprimée cette charmante publicité?

L'accès aux soins en santé mentale est un thème récurrent des couvertures journalistiques des derniers mois. Même si le ministre Lionel Carmant a annoncé à quelques reprises des investissements pour réduire les fameuses listes d'attente, on réalise qu'il n'existe pas de portrait clair de ces listes, ni des pratiques qui font en sorte qu'on considère une personne sortie de cette liste d'attente. Est-ce parce qu'on lui a envoyé un outil virtuel d'auto-soins? Est-ce que parce qu'elle a été rencontrée? Est-ce parce qu'elle s'est épuisée d'attendre? Énigme.