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ACCÈS Canada 23.10.2021

Pénurie de main-d’œuvre au Québec : Près d’un demi-million d’aînés au travail pour contrer la pénurie Alors que la pénurie de main-d’œuvre s’intensifie, les Québécois travaillent de plus en plus vieux. Selon le plus récent bilan du ministère du Travail et de l’Emploi, plus de 405 000 travailleurs âgés de 60 à 69 ans demeurent actifs. En un an, on a réussi à augmenter le taux d’emploi des travailleurs expérimentés de 35,5% à 36,7%, se félicite le ministre Jean Boulet en ent...revue à TVA Nouvelles. C’est l’ajout de 21 500 travailleurs expérimentés dans le marché. Depuis janvier 2019, le ministère a dépensé plus de 832 millions $ pour contrer le manque de travailleurs, une augmentation de 6% par rapport à 2018. Jeunes et handicapés Le marché de l’emploi a accueilli 22 000 jeunes (15 à 24 ans) supplémentaires en 2019. Le nombre de prestataires de l’aide sociale a reculé de près de 10%, passant de 110 000 à 100 000. Les entreprises ont embauché 9% plus de handicapés via le programme de subvention Contrat d’intégration d’Emploi Québec. On a mobilisé l’ensemble des ressources pour accompagner et conseiller les entreprises qui sont à la quête de salariés, explique le ministre. Il reste beaucoup à faire, mais on a fait un bon pas dans la bonne direction. Productivité Au cours de la prochaine année, le gouvernement mettra l’accent sur l’augmentation de la productivité et l’amélioration des compétences des salariés. Si le Québec réussit à rattraper son retard de productivité avec l’Ontario, ce serait l’équivalent de combler 500 000 emplois. Il ne faut pas nécessairement travailler plus, il faut travailler mieux, lance Jean Boulet. Notre taux d’automatisation au Québec dans le domaine manufacturier n’est que de 25%, il est de 75% en Allemagne et 50% aux États-Unis. Le ministre laisse entendre qu’il augmentera les mesures gouvernementales pour favoriser la formation des travailleurs aux technologies numériques. Source : TVA Nouvelles

ACCÈS Canada 12.10.2021

De plus en plus de Québécois effectuent des achats en ligne Les Québécois effectuent de plus en plus d’achats en ligne, les transactions faites sur la toile ayant atteint 10,5 milliards $ en 2018. Il s’agit d’une hausse bien sentie de 27% comparativement à l’année précédente, révèle l’enquête NETendances 2018 du CEFRIO dévoilée mercredi.... Jusqu’à 64% des adultes québécois ont réalisé au moins un achat en ligne l’an dernier, en hausse de 6%, mais la plupart des gens, surtout les jeunes, font d’abord du repérage en ligne avant de débarquer en magasin. À preuve, l’an dernier 72% des internautes québécois ont visité des sites commerciaux avant de se rendre en magasin, une progression de 6% comparativement à 2017. Le panier d’achats mensuel moyen s'est élevé à 293$ en 2018, une augmentation de 7% par rapport à 2017 pour ce qui des achats en ligne. Ce sont surtout les articles de mode (38% des achats en ligne, en hausse de 7%) et de divertissement que les cyberacheteurs québécois consomment sur la toile. Pour ce dernier segment, les gens sont surtout friands de billets de spectacles (29% des achats) ainsi que de musique, de films et de jeux vidéo (28% des achats). En revanche, les segments voyages et transport ainsi que livres, revues et journaux ont reculé respectivement de 22% à 18% et de 19% à 16%, de 2017 à 2018. Parmi les différents groupes d’âge à l’étude, la hausse la plus importante du pourcentage de ceux et celles qui achètent en ligne, a été observée chez les 45 à 54 ans, avec 11 points de pourcentage, passant de 61% en 2017 à 72% en 2018, a dit Claire Bourget, directrice principale, recherche marketing au CEFRIO. Cette hausse notable fait donc en sorte qu’on observe désormais une rupture générationnelle entre les adultes âgés de moins de 55 ans et ceux de 55 ans et plus , a-t-elle ajouté. Le service Amazon Prime a continué sa progression au Québec l’an dernier, 16% des adultes québécois y ayant eu recours, une augmentation de 8% en un an. La hausse est de 12% si on met tous les cyberacheteurs québécois dans le même panier. À bas les frais de livraison Selon l’enquête NETendances, les frais de livraison rebutent particulièrement les cyberacheteurs. Ainsi, pour 84% des répondants, le fait de ne pas avoir de frais de livraison à acquitter est important. Quatre répondants sur cinq trouvent par ailleurs important de pouvoir retourner en magasin ou à un point de vente avec les articles achetés sur la toile. Aussi, l’étiquette de retour payée et fournie lors de la livraison est importante pour 66% des cyberacheteurs. Il faut souligner qu’il y a également la possibilité pour les consommateurs de ramasser les articles achetés en ligne en magasin, une option dont 41% des gens se sont prévalus en 2018, en progression de 3% par rapport à 2017. Source : TVA Nouvelles

ACCÈS Canada 26.09.2021

Rebond surprise de la croissance économique au Canada ( Extrait d’article tiré du journal Le Devoir ) L’économie canadienne a surpris par sa vitalité en début d’année. Clouant apparemment le bec, au moins pour un temps, aux oiseaux de mauvais augure qui parlaient de récession.... Le produit intérieur brut (PIB) réel a augmenté de 0,3 % en janvier au Canada, effaçant d’un seul coup les baisses enregistrées les deux mois précédents, a rapporté vendredi Statistique Canada. Accueilli comme une surprise pour les prévisionnistes, ce regain de vigueur a été généralisé, des hausses ayant été observées dans 18 des 20 secteurs d’activité étudiés, a rapporté l’agence fédérale. La croissance a particulièrement profité d’un important rebond du secteur manufacturier (+1,5 %) ainsi que du secteur de la construction (+ 1,9 %), qui en était rendu, avant cela, à sept mois de baisse consécutifs. Les secteurs de l’extraction minière et de l’extraction du pétrole et gaz ont été les seuls à reculer pour un 5e mois de suite, le premier cédant 4 % et l’autre, 2,6 %. L’extraction des sables bitumineux a perdu un peu plus de 4 % en partie en raison de l’imposition par le gouvernement de l’Alberta d’une réduction temporaire de la production de pétrole à compter de janvier , a expliqué dans son communiqué Statistique Canada. () Source : Extrait d’article tiré du journal Le Devoir

ACCÈS Canada 19.09.2021

Conference Board du Canada : Montréal, championne de la croissance économique au pays Montréal est en voie de finir au premier rang des métropoles canadiennes en ce qui a trait à la croissance économique avec une croissance de son PIB réel de 2.9 % en 2018, avance le Conference Board du Canada.... Si Montréal maintient sa lancée économique, elle dominera pour la première fois ce palmarès depuis 1987, année de la compilation des premières données utilisées pour produire le rapport Notes de conjonctures métropolitaines, dévoilé mardi. L’économie locale connaît de vastes gains cette année, une création d’emplois robuste et une croissance solide des revenus. Cependant, à l’instar de la plupart des autres villes canadiennes, la croissance économique devrait ralentir à Montréal en 2019, a expliqué Alan Arcand, directeur associé au centre d'études municipales du Conference Board, par communiqué. La croissance économique de la métropole québécoise a été soutenue par l’investissement dans le secteur non résidentiel et la croissance démographique. Le marché du travail se resserre, ce qui s’est traduit par une augmentation des salaires et un soutien aux dépenses de consommation. Cela a entraîné un niveau élevé de mises en chantier de logements et une croissance solide des ventes au détail, a ajouté le Conference Board. L'organisme s'attend à ce que la croissance ralentisse pour atteindre 1,8 % en 2019 en raison d'une baisse de la consommation des ménages due au vieillissement de la population, aux taux d'intérêt plus élevés et à l'endettement des ménages. Par ailleurs, Québec est en voie d'atteindre la troisième marche du podium avec une croissance de son PIB de 2,6 % en 2018, à égalité avec Hamilton et Vancouver, mais derrière Winnipeg au deuxième rang. L'économie de la capitale de la province a été dopée par les secteurs de la fabrication et de la construction, a analysé le Conference Board. Cependant, comme Montréal, Québec devrait voir sa croissance ralentir en 2019 alors qu'elle atteindra 1,9 %, prédit l'organisme. Les prévisions de croissance par ville en 2018 Montréal: 2,9 % Winnipeg: 2,7 % Québec: 2,6 % Hamilton: 2,6 % Vancouver: 2,6 % Calgary: 2,5 % Victoria: 2,4 % Toronto: 2,3 % Edmonton: 2,3 % Ottawa-Gatineau: 2 % ou moins Saskatoon: 2 % ou moins Halifax: 2 % ou moins Regina: 2 % ou moins Sources : Tva nouvelles

ACCÈS Canada 06.09.2021

Montréal, championne de l’emploi en Amérique du Nord La métropole québécoise est la grande agglomération nord-américaine où la croissance de l’emploi a été la plus forte en 2017 selon les données compilées par l’organisme Montréal International. En effet, en 2017, le nombre d’emploi dans le Grand... Montréal a augmenté de 3,6 %, ce qui place la région en tête des 20 centres urbains les plus peuplés du Canada et des États-Unis. En chiffres absolus, le nombre moyen d’emplois dans la région de Montréal est passé de 2,071 millions en 2016 à 2,146 millions en 2017, soit environ 75 000 postes. La ville canadienne de Toronto arrive au sixième rang de ce palmarès avec une croissance de 2,32 %. Ce taux de croissance exceptionnel de l’emploi est surtout dû à l’essor des secteurs technologiques. En effet, des secteurs, comme le jeu vidéo, les effets visuels, l’industrie pharmaceutique, l’aérospatiale, les technologies financières et l’intelligence artificielle, ont pu même atteindre un taux de croissance bien supérieurs à la moyenne locale de 3,6 %. Selon Christian Bernard de Montréal International, beaucoup d’entreprises montréalaises ont créé des emplois dans le secteur des technologies et cherchent encore à faire de nouvelles embauches. Toujours selon cet expert, le défi actuel est donc de répondre à la pénurie de main d’oeuvre dans ce domaine florissant. Selon le classement de l’organisme Montréal International, Montréal et Toronto sont les deux seules villes canadiennes à figurer parmi ce classement des 20 régions métropolitaines les plus peuplées du Canada et des États-Unis. Par contre, le Conference Board du Canada prévoit pour sa part un retour de la croissance de l’emploi à 1,6 % pour 2018. Source : La Presse

ACCÈS Canada 28.08.2021

Immigration au Québec : fin de la politique du premier arrivé, premier servi Pour remédier à la pénurie de main-d'œuvre, le gouvernement Couillard apporte des changements importants dans la sélection des personnes souhaitant immigrer au Québec. (Un texte de Véronique Prince, correspondante parlementaire à Québec)...Continue reading

ACCÈS Canada 24.08.2021

Palmarès de la Banque de Montréal Ottawa, Québec et Hamilton ont les économies les plus attirantes Les villes d’Ottawa, de Québec et d’Hamilton constituent les trois villes canadiennes les plus attirantes au niveau économique, selon un palmarès diffusé récemment par la Banque de Montréal.... L’institution a choisi ce trio de tête en raison de la qualité et la quantité des emplois qui y sont disponibles, le coût d’achat des maisons et la stabilité de leurs économies. Ottawa se classe en haut de la liste à cause de son plus haut revenu d’emploi médian par famille (au Canada) et à cause du fait que son taux de chômage soit descendu deux points de pourcentage plus bas que la moyenne des 21 (plus grandes villes canadiennes), écrit Robert Kavic, économiste principal chez la BMO et auteur de l’étude. La ville de Québec, quant à elle, offre une économie remarquablement stable et un des marchés immobiliers les plus abordables au Canada, explique M. Kavic. Par contre, l’économiste note que le fardeau fiscal y demeure élevé. Rappelons que la région de Québec affiche actuellement un taux de chômage de seulement 3,6 % et que le prix moyen des maisons est 267 700 $, l’un des plus bas parmi ceux des principales agglomérations canadiennes. De son côté, Hamilton reflète la vigueur de l’économie de la région torontoise. Elle tire aussi profit contrairement à Toronto d’un marché immobilier encore abordable. Dans ce palmarès des 21 villes les plus attirantes, suivent ensuite Edmonton, Windsor, Regina, Calgary et Guelph. Montréal arrive en 11e place et Toronto se retrouve en fin de classement, au 19e rang. C’est le prix élevé des maisons qui coule Toronto : le prix moyen des habitations unifamiliales y atteint actuellement 756 000 $. Le taux de chômage y est de 6 %, soit le même qu’à Montréal. Cependant, le coût moyen des maisons est de 362 000 $ dans la métropole québécoise. Seulement deux villes du Québec figurent dans ce palmarès : celle de Québec et Montréal. Vancouver se classe mieux que Toronto en arrivant au 17e, en raison notamment d’un taux de chômage très bas, à 4 %. Toutefois, la performance de la ville est plombée par le prix extraordinairement élevé des maisons, qui atteint 1 027 400 $. Source : TVA Nouvelles

ACCÈS Canada 06.08.2021

De plus en plus de travailleurs étrangers dans les entreprises agricoles du Québec Face à une pénurie de main-d'œuvre régionale, de plus en plus d'entreprises agricoles doivent faire appel à des travailleurs étrangers pendant la saison estivale. C'est le cas de la Ferme Bourdages Tradition de Saint-Siméon, dans la Baie-des-Chaleurs. Alors qu'en 2012, la ferme comptait quatre travailleurs mexicains, ils sont 35 cet été à y cueillir des fraises.... La Ferme Bourdages Tradition fait appel à ces travailleurs depuis maintenant quelques années, car l'entreprise peine à combler ses besoins en main-d'œuvre avec la population locale. C'est un peu généralisé au Québec pour les entreprises agricoles de moyenne et grande taille. On est en pénurie de main-d'oeuvre et c'est pour ça qu'on a recours à des travailleurs étrangers explique le copropriétaire de la ferme, Jean-François Bourdages. Les travailleurs étrangers sont présents en grand nombre partout. Jean-François Bourdages, co-propriétaire de la Ferme Bourdages Tradition L'entreprise paie les billets d'avion des Mexicains, puis prélève une partie de leurs salaires afin de rembourser les frais de déplacement. Les travailleurs sont rémunérés au salaire minimum et hébergés sur le site de la ferme pour une période de cinq à six semaines. C'est une petite communauté; le soir, ils s'amusent, ils jouent au soccer. On va à l'épicerie avec eux une fois par semaine souligne Jean-François Bourdages. Pour les travailleurs étrangers, ces conditions sont souvent meilleures que celles offertes dans leur pays. Je veux une vie meilleure et ici j'en ai la chance alors qu'au Mexique, je ne l'avais pas affirme l'un des Mexicains employés par la ferme. À la merci des politiques migratoires Selon l'Union des producteurs agricoles (UPA), la demande pour les travailleurs étrangers est grandissante en Gaspésie, qui affiche un taux de chômage de plus de 12 %. Je le constate au bureau aussi, de plus en plus d'entreprises s'informent pour savoir comment ça fonctionne observe la conseillère aux entreprises pour l'UPA Gaspésie, Véronique Babin Roussel. En même temps, il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier; s'il arrive quelque chose et que les frontières sont fermées, c'est le scénario catastrophe. Véronique Babin Roussel, conseillère aux entreprises pour l'UPA Gaspésie Bien que les fraises aient poussé avec une semaine de retard, la saison s'annonce bonne selon le co-propriétaire de la Ferme Bourdages Tradition. L'entreprise produit des fraises depuis 1940 et emploie une cinquantaine de personnes en haute saison. Source : Sympatico.ca

ACCÈS Canada 17.07.2021

Emploi La Montérégie en pleine expansion Serge Goulet, président de Devimco Immobilier, lors de la cérémonie de la pelletée de terre de la première phase du projet Solar Uniquartier à Brossard, en août 2017. ...Continue reading

ACCÈS Canada 12.07.2021

La campagne électorale débute sans avoir déjà été officiellement annoncée ! Tout discours qui vise à réduire le nombre d'immigrants au Québec, comme celui de la Coalition avenir Québec, est un discours nuisible à l'économie, croit le premier ministre Philippe Couillard. Tout discours qui est négatif sur l'immigration et qui prétendrait réduire l'immigration au Québec est un discours anti-économique pour le Québec et pour la métropole, a-t-il lancé.... Le premier ministre a fait cette affirmation, vendredi, devant quelque 600 convives réunis par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Au cours d'une rencontre avec la presse qui a suivi, il s'en est plus directement pris à la Coalition avenir Québec, qui propose de réduire le nombre d'immigrants à 40 000, à bien les sélectionner en fonction de leurs qualifications et à veiller à leur francisation, le cas échéant. Le gouvernement Couillard, lui, propose de maintenir le seuil à un niveau de 49 000 à 54 000 immigrants par année. À l'heure actuelle, le Québec en reçoit 50 000, mais plusieurs quittent après quelques années. Il y a une formation politique, celle de M. (François) Legault et de la CAQ, qui propose de réduire de façon importante l'immigration, ce qui est un message anti-économique, qui va faire perdre de la prospérité au Québec, qui va coûter des emplois au Québec, a critiqué le premier ministre Couillard. C'est le contraire qu'il faut faire actuellement. Il faut maintenir nos seuils, bien les intégrer, bien les franciser et se rendre compte de la profondeur du problème de la pénurie de main-d'oeuvre. C'est totalement illogique, absurde même, alors qu'on est en pénurie de main-d'oeuvre, de proposer quelque chose comme ça, a-t-il tonné. Le discours du premier ministre Couillard portant sur le taux de chômage moindre, les surplus budgétaires dégagés après des années de rigueur, ainsi que les réinvestissements en éducation, en mobilité durable, sans compter la capacité du Québec d'emprunter à un taux moindre que l'Ontario, maintenant, ont eu l'heur de plaire à son auditoire de gens d'affaires. Sa ligne de presse en prévision de la campagne électorale semble déjà arrêtée: le Québec est sur un élan de victoires; le Québec gagne maintenant; il ne faut pas briser l'élan du Québec; ne laissons personne briser l'élan du Québec, s'est-il exclamé à quelques occasions. Il a dépeint le Québec comme autrefois dernier de classe, maintenant cité en exemple . Source : La Presse Canadienne NB : Le titre de cet article a été proposé par Accès Canada

ACCÈS Canada 04.07.2021

Bonne Fête de Travail à toutes et à tous ! A l’occasion de ce 1er mai 2018, la Direction de la firme d’immigration francophone au Canada, Accès Canada, souhaite à tous ses clients et clientes une agréable Fête de Travail. La Direction

ACCÈS Canada 19.06.2021

Ontario ( Canada) : Attirer le tourisme en diminuant les frais des constructeurs La municipalité de Lakeshore dans le Sud-Ouest ontarien manque d'infrastructures pour accueillir des visiteurs. Les gens d'affaires, les organismes sportifs et même des résidents croient que la venue d'un nouvel hôtel est nécessaire. Lakeshore vient d’abolir ses frais de permis de construction, dans l’espoir d’attirer des entreprises.... La municipalité croit qu’un nouvel hôtel est une priorité, notamment pour répondre aux besoins des touristes qui fréquentent son centre récréatif Atlas Tube. En mars, sa voisine Tecumseh avait annoncé qu’elle mettait en place un moratoire sur les frais de permis de construction pour les hôtels et autres commerces. Source : Sympatico

ACCÈS Canada 03.04.2021

Pénurie de main-d’œuvre au Québec : Près d’un demi-million d’aînés au travail pour contrer la pénurie Alors que la pénurie de main-d’œuvre s’intensifie, les Québécois travaillent de plus en plus vieux. Selon le plus récent bilan du ministère du Travail et de l’Emploi, plus de 405 000 travailleurs âgés de 60 à 69 ans demeurent actifs. En un an, on a réussi à augmenter le taux d’emploi des travailleurs expérimentés de 35,5% à 36,7%, se félicite le ministre Jean Boulet en ent...revue à TVA Nouvelles. C’est l’ajout de 21 500 travailleurs expérimentés dans le marché. Depuis janvier 2019, le ministère a dépensé plus de 832 millions $ pour contrer le manque de travailleurs, une augmentation de 6% par rapport à 2018. Jeunes et handicapés Le marché de l’emploi a accueilli 22 000 jeunes (15 à 24 ans) supplémentaires en 2019. Le nombre de prestataires de l’aide sociale a reculé de près de 10%, passant de 110 000 à 100 000. Les entreprises ont embauché 9% plus de handicapés via le programme de subvention Contrat d’intégration d’Emploi Québec. On a mobilisé l’ensemble des ressources pour accompagner et conseiller les entreprises qui sont à la quête de salariés, explique le ministre. Il reste beaucoup à faire, mais on a fait un bon pas dans la bonne direction. Productivité Au cours de la prochaine année, le gouvernement mettra l’accent sur l’augmentation de la productivité et l’amélioration des compétences des salariés. Si le Québec réussit à rattraper son retard de productivité avec l’Ontario, ce serait l’équivalent de combler 500 000 emplois. Il ne faut pas nécessairement travailler plus, il faut travailler mieux, lance Jean Boulet. Notre taux d’automatisation au Québec dans le domaine manufacturier n’est que de 25%, il est de 75% en Allemagne et 50% aux États-Unis. Le ministre laisse entendre qu’il augmentera les mesures gouvernementales pour favoriser la formation des travailleurs aux technologies numériques. Source : TVA Nouvelles

ACCÈS Canada 30.03.2021

De plus en plus de Québécois effectuent des achats en ligne Les Québécois effectuent de plus en plus d’achats en ligne, les transactions faites sur la toile ayant atteint 10,5 milliards $ en 2018. Il s’agit d’une hausse bien sentie de 27% comparativement à l’année précédente, révèle l’enquête NETendances 2018 du CEFRIO dévoilée mercredi.... Jusqu’à 64% des adultes québécois ont réalisé au moins un achat en ligne l’an dernier, en hausse de 6%, mais la plupart des gens, surtout les jeunes, font d’abord du repérage en ligne avant de débarquer en magasin. À preuve, l’an dernier 72% des internautes québécois ont visité des sites commerciaux avant de se rendre en magasin, une progression de 6% comparativement à 2017. Le panier d’achats mensuel moyen s'est élevé à 293$ en 2018, une augmentation de 7% par rapport à 2017 pour ce qui des achats en ligne. Ce sont surtout les articles de mode (38% des achats en ligne, en hausse de 7%) et de divertissement que les cyberacheteurs québécois consomment sur la toile. Pour ce dernier segment, les gens sont surtout friands de billets de spectacles (29% des achats) ainsi que de musique, de films et de jeux vidéo (28% des achats). En revanche, les segments voyages et transport ainsi que livres, revues et journaux ont reculé respectivement de 22% à 18% et de 19% à 16%, de 2017 à 2018. Parmi les différents groupes d’âge à l’étude, la hausse la plus importante du pourcentage de ceux et celles qui achètent en ligne, a été observée chez les 45 à 54 ans, avec 11 points de pourcentage, passant de 61% en 2017 à 72% en 2018, a dit Claire Bourget, directrice principale, recherche marketing au CEFRIO. Cette hausse notable fait donc en sorte qu’on observe désormais une rupture générationnelle entre les adultes âgés de moins de 55 ans et ceux de 55 ans et plus , a-t-elle ajouté. Le service Amazon Prime a continué sa progression au Québec l’an dernier, 16% des adultes québécois y ayant eu recours, une augmentation de 8% en un an. La hausse est de 12% si on met tous les cyberacheteurs québécois dans le même panier. À bas les frais de livraison Selon l’enquête NETendances, les frais de livraison rebutent particulièrement les cyberacheteurs. Ainsi, pour 84% des répondants, le fait de ne pas avoir de frais de livraison à acquitter est important. Quatre répondants sur cinq trouvent par ailleurs important de pouvoir retourner en magasin ou à un point de vente avec les articles achetés sur la toile. Aussi, l’étiquette de retour payée et fournie lors de la livraison est importante pour 66% des cyberacheteurs. Il faut souligner qu’il y a également la possibilité pour les consommateurs de ramasser les articles achetés en ligne en magasin, une option dont 41% des gens se sont prévalus en 2018, en progression de 3% par rapport à 2017. Source : TVA Nouvelles

ACCÈS Canada 13.03.2021

Rebond surprise de la croissance économique au Canada ( Extrait d’article tiré du journal Le Devoir ) L’économie canadienne a surpris par sa vitalité en début d’année. Clouant apparemment le bec, au moins pour un temps, aux oiseaux de mauvais augure qui parlaient de récession.... Le produit intérieur brut (PIB) réel a augmenté de 0,3 % en janvier au Canada, effaçant d’un seul coup les baisses enregistrées les deux mois précédents, a rapporté vendredi Statistique Canada. Accueilli comme une surprise pour les prévisionnistes, ce regain de vigueur a été généralisé, des hausses ayant été observées dans 18 des 20 secteurs d’activité étudiés, a rapporté l’agence fédérale. La croissance a particulièrement profité d’un important rebond du secteur manufacturier (+1,5 %) ainsi que du secteur de la construction (+ 1,9 %), qui en était rendu, avant cela, à sept mois de baisse consécutifs. Les secteurs de l’extraction minière et de l’extraction du pétrole et gaz ont été les seuls à reculer pour un 5e mois de suite, le premier cédant 4 % et l’autre, 2,6 %. L’extraction des sables bitumineux a perdu un peu plus de 4 % en partie en raison de l’imposition par le gouvernement de l’Alberta d’une réduction temporaire de la production de pétrole à compter de janvier , a expliqué dans son communiqué Statistique Canada. () Source : Extrait d’article tiré du journal Le Devoir

ACCÈS Canada 22.02.2021

Conference Board du Canada : Montréal, championne de la croissance économique au pays Montréal est en voie de finir au premier rang des métropoles canadiennes en ce qui a trait à la croissance économique avec une croissance de son PIB réel de 2.9 % en 2018, avance le Conference Board du Canada.... Si Montréal maintient sa lancée économique, elle dominera pour la première fois ce palmarès depuis 1987, année de la compilation des premières données utilisées pour produire le rapport Notes de conjonctures métropolitaines, dévoilé mardi. L’économie locale connaît de vastes gains cette année, une création d’emplois robuste et une croissance solide des revenus. Cependant, à l’instar de la plupart des autres villes canadiennes, la croissance économique devrait ralentir à Montréal en 2019, a expliqué Alan Arcand, directeur associé au centre d'études municipales du Conference Board, par communiqué. La croissance économique de la métropole québécoise a été soutenue par l’investissement dans le secteur non résidentiel et la croissance démographique. Le marché du travail se resserre, ce qui s’est traduit par une augmentation des salaires et un soutien aux dépenses de consommation. Cela a entraîné un niveau élevé de mises en chantier de logements et une croissance solide des ventes au détail, a ajouté le Conference Board. L'organisme s'attend à ce que la croissance ralentisse pour atteindre 1,8 % en 2019 en raison d'une baisse de la consommation des ménages due au vieillissement de la population, aux taux d'intérêt plus élevés et à l'endettement des ménages. Par ailleurs, Québec est en voie d'atteindre la troisième marche du podium avec une croissance de son PIB de 2,6 % en 2018, à égalité avec Hamilton et Vancouver, mais derrière Winnipeg au deuxième rang. L'économie de la capitale de la province a été dopée par les secteurs de la fabrication et de la construction, a analysé le Conference Board. Cependant, comme Montréal, Québec devrait voir sa croissance ralentir en 2019 alors qu'elle atteindra 1,9 %, prédit l'organisme. Les prévisions de croissance par ville en 2018 Montréal: 2,9 % Winnipeg: 2,7 % Québec: 2,6 % Hamilton: 2,6 % Vancouver: 2,6 % Calgary: 2,5 % Victoria: 2,4 % Toronto: 2,3 % Edmonton: 2,3 % Ottawa-Gatineau: 2 % ou moins Saskatoon: 2 % ou moins Halifax: 2 % ou moins Regina: 2 % ou moins Sources : Tva nouvelles

ACCÈS Canada 09.02.2021

Montréal, championne de l’emploi en Amérique du Nord La métropole québécoise est la grande agglomération nord-américaine où la croissance de l’emploi a été la plus forte en 2017 selon les données compilées par l’organisme Montréal International. En effet, en 2017, le nombre d’emploi dans le Grand... Montréal a augmenté de 3,6 %, ce qui place la région en tête des 20 centres urbains les plus peuplés du Canada et des États-Unis. En chiffres absolus, le nombre moyen d’emplois dans la région de Montréal est passé de 2,071 millions en 2016 à 2,146 millions en 2017, soit environ 75 000 postes. La ville canadienne de Toronto arrive au sixième rang de ce palmarès avec une croissance de 2,32 %. Ce taux de croissance exceptionnel de l’emploi est surtout dû à l’essor des secteurs technologiques. En effet, des secteurs, comme le jeu vidéo, les effets visuels, l’industrie pharmaceutique, l’aérospatiale, les technologies financières et l’intelligence artificielle, ont pu même atteindre un taux de croissance bien supérieurs à la moyenne locale de 3,6 %. Selon Christian Bernard de Montréal International, beaucoup d’entreprises montréalaises ont créé des emplois dans le secteur des technologies et cherchent encore à faire de nouvelles embauches. Toujours selon cet expert, le défi actuel est donc de répondre à la pénurie de main d’oeuvre dans ce domaine florissant. Selon le classement de l’organisme Montréal International, Montréal et Toronto sont les deux seules villes canadiennes à figurer parmi ce classement des 20 régions métropolitaines les plus peuplées du Canada et des États-Unis. Par contre, le Conference Board du Canada prévoit pour sa part un retour de la croissance de l’emploi à 1,6 % pour 2018. Source : La Presse