Comité logement Rosemont
5350 Lafond H1X 2X2 Montreal, QC, Canada

Oui! "Devant la montée des cas de violence conjugale en temps de pandémie, des organismes communautaires réclament des investissements dans les logements sociaux dans le prochain budget provincial."

Nous vous invitons à compléter ce sondage sur les projets d'habitation des ainé-es suite à la pandémie. Cette recherche est orchestrée par la Faculté de l'aména...gement de l'UdeM et financée par la Fondation Luc Maurice. Nous croyons qu'il est primordial de se pencher sur l'offre d'habitation pour les ainé-es que ce soit en temps de pandémie ou non. Peu de modèles d'habitation nous sont offerts et ces modèles sont très couteux quand nous pensons aux Résidences privées pour ainés. Nous vous encourageons donc à participer à cette recherche. Merci! Cliquez sur le lien pour répondre au sondage. https://nouvelles.umontreal.ca//la-pandemie-modifie-t-el/

Ce n'est pas une petite tempête qui nous arrête! Des militantEs pour le droit au logement parcouraient aujourd'hui le Vieux Rosemont pour le recouvrir d'affiches afin d'informer les locataires sur leurs droits face à une hausse des loyers. On en a profité pour faire la promotion de la campagne du RCLALQ Droit Au Logement revendiquant un gel des loyers!

Le gouvernement du Québec a déposé ce matin son nouveau projet de loi sur la relance économique et l’accélération de certains projets d'infrastructures publique...s (projet de loi 66). Encore une fois, le logement social a été oublié. Pourtant, les locataires de partout au Québec continuent de faire les frais d’une crise du logement, aggravée par les effets de la pandémie. Considérant les besoins criants, les projets de logements sociaux et communautaires annoncés dans les 10 dernières années, et pris dans la machine en raison de l’insuffisance des investissements gouvernementaux dans le programme AccèsLogis, devraient faire partie des chantiers à accélérer. Les centaines de HLM actuellement barricadés et vacants, faute d’entretien sont des infrastructures publiques qui, vu les besoins criants, doivent être prioritaires, afin d’être remis rapidement en location. Nous poursuivons les pressions pour que ces investissements urgents soient inclus dans les éventuelles modifications au projet de loi, et sinon qu'ils soient prévus dans la mise à jour économique de l’automne. D’ici là, nous demandons à Québec d’annoncer sans tarder le financement de nouvelles unités de logement social, ce que le gouvernement Legault n’a pas fait depuis son arrivée au pouvoir. Maintenant qu’il a la certitude de pouvoir compter sur des sommes fédérales, il n’a plus de raisons de ne pas le faire rapidement. Sans cela, il sera difficile pour les villes de mettre en place les mesures assurant que leurs communautés soient plus résiliantes face aux crises. La relance post pandémie doit être saisie comme une occasion de planifier une transition porteuse de justice sociale. Pour se faire, elle doit être basée sur le respect des droits fondamentaux, dont celui au logement et à un revenu suffisant. Pour lire le #PL66 http://www.assnat.qc.ca//projets-l/projet-loi-66-42-1.html #RelanceJuste

Rapport annuel de la Régie: plus d'évictions de locataires ! Pendant que les délais pour obtenir une audience s’améliorent, on note une augmentation de 40% de...s demandes pour effectuer une reprise de logement. Les demandes pour effectuer des travaux majeurs, qui trop souvent, se soldent par le départ des locataires, ont quant à elles, augmenté de 400%. [...] Les propriétaires profitent de la rareté des logements pour évincer les locataires et augmenter le prix des loyers [...] Il est de plus en plus difficile de parler à des préposéEs de la Régie. En 2 ans, le nombre d’appels traités par des préposéEs a diminué de 23% tandis que le nombre d’appels traités par le système de réponse vocale a augmenté de 70%. https://rclalq.qc.ca//rapport-annuel-de-la-regie-du-logem/

#semainemunicipalité2020 Après plusieurs années, les gouvernements de Justin Trudeau et de François Legault ont enfin réglé leur chicane de clochers. Ce n'est pas toutefois pas le temps pour nos élus de s'asseoir sur leurs lauriers. On n'oubliera pas le piètre bilan de la Coalition Avenir Québec en matière de logement social. ... Alors que plus de 22 000 ménages sont en attente d'un logement subventionné par l'OMHM à Montréal, les unités en coopératives et OBNL promises par Legault se font toujours attendre. Projet Montréal s'est fait élire avec une promesse de 6000 unités et l'argent n'y est pas pour les réaliser. Fini le niaisage, on veut du logement social MAINTENANT!

Alors que la pandémie a rendu visibles les conséquences dramatiques du mal-logement, que la pénurie de logements s’incruste et qu’une deuxième vague de contamin...ations de la Covid-19 risque d’aggraver les choses, lors d’une conférence de presse avec le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, le Collectif pour un Québec sans pauvreté et le Réseau Solidarité Itinérance du Québec, nous avons demandé aux gouvernements canadien et québécois de faire du logement social une priorité, immédiatement. Les campements temporaires qui se multiplient à Montréal; le nombre de ménages locataires toujours sans logis 10 semaines après la journée traditionnelle des déménagements; sans compter ceux qui sont évincés de leur logement en ce moment, ou qui vivent dans un logement trop cher, surpeuplé et/ou insalubre; ou qui sont déjà carrément à la rue; toutes les femmes victimes de violences conjugales qui doivent demeurer trop longtemps dans une maison d’hébergement ou pire qui se retrouvent coincées avec leur conjoint violent, faute de logement familiaux ou qu’elles sont en mesure de payer, sont autant de situations dont les gouvernements ne peuvent plus faire fi. Québec doit prévoir dans sa mise à jour financière de l’automne des investissements supplémentaires pour financer un grand chantier de 50 000 logements sociaux d’ici 2025 et il doit absolument accélérer la livraison des 13 000 déjà prévus, mais pas encore livrés. Il doit également protéger les locataires contre les rénovictions et les hausses abusives de loyers. Ottawa doit également augmenter ses investissements dans le logement social, ce, dès son prochain budget, entre autres pour remettre en état le parc de logements HLM. Communiqué https://www.frapru.qc.ca/priorite-crise-logement/

https://journalmetro.com//trop-de-hlm-vacants-faute-dentr/

Un petit tour à Viennes, dont les 2/3 des habitants vivent en logement social!

Parmi les personnes vivant au campement Beauport Notre-Dame à Montréal et vivant dans d’autres situations très précaires ailleurs dans la ville et la province, ...des locataires qui ont perdu leur logement dans les derniers jours, dans les dernières semaines où les derniers mois et qui n’ont pas trouvé à se reloger. Contrairement à ce qu’avait promis la ministre de l’Habitation, Andrée Laforest, en affirmant que personne ne se retrouverait à la rue , trop de gens passent à travers les mailles du filet social, qui est beaucoup trop mince en matière de logement. Il est plus que temps de faire de la crise du logement une priorité. Tenter d’invisibiliser le problème en démantelant les campements plutôt que d’assurer que des solutions pérennes soient trouvées ne réglera rien. Lundi soir, il y avait même de nouveaux arrivants qui s’y installaient, fraîchement évincés de leur appartement au 1er septembre. Le campement, qui a commencé à prendre forme cet été, est composé notamment de locataires évincés de leur appartement au 1er juillet

Avec l’entrée en vigueur des mesures touchant la Régie du logement dans le projet de loi 16, nous tenons tient à rappeler que les changements apportés au tribun...al ne permettront pas d’éliminer les profondes injustices vécues par les locataires. Malgré un changement de nom, la Régie demeurera une machine à expulser les locataires. See more

Extrait du texte: On ne partira pas tant qu’on n’aura pas une solution raisonnable et équitable pour tout le monde , lance Francis Lévesque-Goulet. L’homme de 33 ans vit depuis deux mois dans un campement de fortune d’Hochelaga-Maisonneuve, à Montréal. L’endroit baptisé camping Beauport Notre-Dame par ses occupants compte aujourd’hui une quarantaine de tentes plantées sur un terrain vacant longeant la rue Notre-Dame. Francis était déneigeur avant de perdre son emploi, ...en mars. Il a bien tenté de se faire engager comme paysagiste, mais sans succès. Puis, la pandémie a frappé. J’avais plus une cenne. Mon coloc m’a mis dehors. Après être passé d’un refuge temporaire à l’autre, il a décidé de planter sa tente sur ce terrain vacant situé à un jet de pierre du square Dézéry. Depuis, il passe ses journées à réparer tout ce qu’on lui apporte, que ce soit un vélo ou un ordinateur. Il garde aussi à l’œil ses voisins aux prises avec une dépendance. Il n’y a pas de seringue qui traîne. Les gens qui consomment restent dans leur tente. Des gens gelés devant tout le monde, j’en veux pas , insiste-t-il. Comme Francis, Mike joue lui aussi à l’agent de sécurité dans ses heures perdues. Michel Groulx, de son vrai nom, habite le campement depuis trois semaines. Avant, il résidait à Gatineau, où il a été jeté à la rue en début d’année. J’ai perdu ma job, mon logement. Je ne pouvais plus payer le loyer , laisse-t-il tomber, tirant sur sa cigarette.

Il faut peser sur l’accélérateur Pour la porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), Véronique Laflamme, il faut que nos deux ordres de gouvernement pèsent sur l’accélérateur . On n’investit pas les fonds pour que ça se règle. Maintenant que le 1er juillet est derrière nous, on dirait que les autorités n’en parlent plus. Si on accepte que des gens se retrouvent sans logis pendant des mois, on va encore augmenter l’itinérance , souligne...-t-elle. À ses yeux, les signaux sont au rouge depuis trop longtemps pour que Québec continue de fermer les yeux. Il y a une urgence réelle. On ne peut plus attendre un autre budget dans un an. Les gens ont besoin d’aide maintenant , implore Mme Laflamme. Même son de cloche pour le coordonnateur du Regroupement des comités logement et associations de locataires (RCLALQ), Maxime Roy-Allard. Le plus inquiétant, c’est la reprise des évictions. Il y a beaucoup de gens qui, pendant la COVID-19, ont été en situation de non-paiement , observe-t-il.

"C’est un pas dans la bonne direction, mais chaque arrondissement propose des dérogations. En ce moment, 230 ménages sont à la recherche d’un logement dans le Grand Montréal. Il faut aller plus loin si on veut lutter efficacement contre la crise du logement, affirme Catherine Lussier, organisatrice communautaire au FRAPRU. Dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve par exemple les fusions ou les agrandissements de logements, ni la conversion en unifamiliale ne seront limités, sou...ligne le maire lui-même. Et dans Rosemont-La Petite-Patrie, les restrictions ne toucheront pas les propriétaires de duplex. Nous sommes très favorables à une amélioration du règlement dans Rosemont-La Petite-Patrie, souligne pour sa part Arnaud Duplessis-Lalonde, organisateur communautaire au Comité logement Rosemont. Mais, ça ne réglera pas la crise actuelle. Si ces mesures sont positives, le FRAPRU et le Comité de logement Rosemont sont d’accord pour dire qu’un contrôle des loyers efficace et la construction de nouveaux logements abordables est indispensable. Ces nouvelles mesures n’empêcheront pas les rénovictions par exemple. Il faut commencer à légiférer si on veut vraiment enrayer le phénomène et protéger les locataires, insiste Mme Lussier."

La FADOQ craint, avec raison, que les propriétaires de résidences privées pour aînéEs profitent de la pandémie pour pouvoir augmenter abusivement des loyers qui... sont déjà beaucoup trop chers. Dans les prochaines semaines, le RCLALQ suivra ce dossier de près. C’est connu, le loyer en résidence privée pour aînés (RPA) est excessivement élevé. C’est pourquoi le Réseau FADOQ suivra de près les suites des démarches entreprises par le Regroupement québécois des résidences pour aînés (RQRA) et le Groupe Maurice visant à faire adapter la grille de loyers générique, publiée par la Régie du logement, dans l’objectif de permettre des hausses de loyer significatives avec peu de recours possibles pour les locataires. La semaine dernière, la FADOQ a d’ailleurs fait connaître son désaccord par rapport à ces demandes lors d’un entretien avec Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation. Le Réseau souhaite que dès la rentrée parlementaire, la ministre donne des signes que cette requête des lobbyistes ne deviendra pas réalité. Deux raisons sont invoquées par le RQRA et le Groupe Maurice pour demander un bail spécifique aux RPA : la nécessité de mieux payer les préposés aux bénéficiaires et le risque de fermeture des petites résidences. À ces arguments, le Réseau répond qu’une aide financière gouvernementale aux petites résidences indépendantes en région pourrait être de mise mais que les grands groupes de résidences devront faire la preuve qu’ils peinent à boucler leur budget.

L'arrondissement de Rosemont-La-Petite-Patrie à Montréal voit le prix des loyers augmenter depuis longtemps. Mais dans les dernières années, la flambée des loye...rs est sans précédent. Un 4 et demi se loue en moyenne 1260$ par mois. Pour un grand logement (3 chambres et plus), il faut s'attendre à payer en moyenne 1630$ par mois. Une importante flambée des loyers sévit au Québec, comme en témoigne l'enquête que nous avons menée sur le prix des logements à louer. Il est urgent d'instaurer un véritable contrôle des loyers et un registre public des loyers pour freiner les hausses importantes qui surviennent lors des déménagements. Il faut également construire massivement des logements sociaux, hors du marché privé. Ça suffit l'appauvrissement des locataires et la marchandisation du logement, madame la ministre Andrée Laforest - Députée de Chicoutimi! Pour en savoir plus sur notre enquêtehttps://rclalq.qc.ca/publication/enquete-flambee-des-loyers/

Honte au gouvernement du Québec! Aujourd'hui est un jour sombre pour les locataires du Québec. Le moratoire sur les expulsions de locataires en vigueur depuis l...e 17 mars est maintenant levé. Cela se traduira en milliers d'évictions de locataires au cours de prochains mois alors que nous sommes en pleine crise du logement et que la Covid-19 n'a clairement pas dit son dernier mot. Où logeront les locataires évincéEs? Dans les logements hors de prix? Et où iront les locataires évincéEs lorsque la prochaine vague de la pandémie frappera le Québec? Dans des logements surpeuplés? Notre communiqué de presse conjoint avec l'Association des juristes progressistes (A.J.P.) See more

Le 1er juillet, des membres de l'équipe du Comité logement Rosemont sillonaient les rues du quartier pour distribuer de l'information aux locataires qui devaient déménager et les référer aux ressources mises sur pied pendant la crise du logement. Nous en avons profité pour faire un arrêt à la coopérative d'habitation La Joie de Rosemont, dont la construction avance à bon train! Mené à terme, ce projet, piloté par Groupe CDH, permettra de loger une cinquantaine de ménages qui ont déposé leur demande au Comité logement Rosemont.

PASSE MOI TON BAIL ! Avec les nombreux déménagements qui ont eut lieux au Québec, le RCLALQ invite les locataires à partager leur bail et le prix du loyer aux n...ouvelles personnes qui emménagent. Cela permet aux nouveaux locataires de connaître exactement combien payaient les anciens locataires, et de contester la hausse de loyer à la Régie du logement si celle-ci s'avère abusive. Un simple geste de solidarité qui peut permettre de sauver beaucoup! See more

Depuis le 22 juin, le Comité logement Rosemont recommence progressivement ses activités dans ses locaux. Pour des raisons de sécurité, nous fonctionnons par rendez-vous uniquement! Que ce soit pour vous informer sur vos droits, vous renseigner sur les projets de logement social ou vous inscrire à nos activités, nous vous invitons à nous appeler au 514-597-2581

Solidarise toit avec les mal-logéEs! En cette veille du 1er juillet, il est plus important que jamais d'être solidaire avec les mal-logéEs. Sortez-vos pa...ncartes! Affichez vous aussi votre solidarité avec les mal-LogéES (que ce soit à votre fenêtre, dans la rue, sur votre balcon ou de manière créative) et envoyez-nous des photos! Pour en savoir plus sur notre campagnehttps://rclalq.qc.ca/campagne/solidarise-toit/ Pour modifier votre photo de profil avec l'encadréhttps://www.facebook.com/profilepicframes/?selected_overlay_id=683898082466327

[Nouvelle publication] Notre équipe s'est penchée sur la rentabilité des immeubles locatifs à Montréal. Verdict : - Pour un immeuble acheté il y a 15 ans, le ta...ux de rendement annuel moyen avant impôt a été de 24% - Les pratiques spéculatives sur le marché immobilier ont contribué à la hausse des prix de l’immobilier et à creuser l’écart de richesse entre propriétaires et locataires Conclusion : il faut mieux encadrer le marché locatif afin de favoriser l’accès au logement. Pour lire --> https://bit.ly/speculation-logement-mtl

À propos de la cherté des logements, un autre témoignage percutant d’une famille forcée de déménager qui n’a pas eu le choix de louer un logement trop cher pour... son budget et de changer de quartier, de crainte de se retrouver à la rue. Pour que des alternative soient disponibles, ça prend des logements sociaux en nombre suffisant et un contrôle du coût des loyers freinée la flambée des prix! À court terme, il faut aussi s’assurer que personne ne se retrouve à la rue le 1er juillet et qu’un hébergement temporaire soit offert peu importe la municipalité ! La Montréalaise Lynda Belkhir et son mari en sont témoins : C’est une véritable crise ! C’est clair que la situation s’est aggravée cette année , affirme la mère de deux enfants qui vit dans l’arrondissement de RosemontLa Petite-Patrie. Puisque leur propriétaire a repris possession du 5 1/2 qu’ils payaient 875 $ par mois depuis trois ans, ils ont dû chercher un nouvel endroit pour le 1er juillet. Ils espéraient trouver dans le même secteur, mais peine perdue. Les logements sont trop chers. Et quand ils sont plus abordables, il y a trop de demandes. Il a fallu qu’on en prenne un à l’extérieur du quartier et à un prix plus élevé (1050 $). Nous n’étions pas en position pour négocier, explique à regret Mme Belkhir.