La Forge T-R
2575 rue Girard G8Z 2M3 Trois-Rivières, QC, Canada

Plus de la moitié des gens (55 %) qui ont contracté la COVID à ce moment avait une condition médicale préexistante. Dans la population en générale, 40 % souffrent d’une maladie diagnostiquée. Chez les 5 543 premiers décès de la COVID au Québec, 97 % de ceux-ci avaient une condition médicale préexistante. Quand le gros bon sens reviendra, La Forge y sera...... Je pense que malgré le présent qui est plutôt nébuleux en ce qui concerne l'avenir des centres d'entrainement, une société qui dans le futur ne considèrera pas l'importance de ceux-ci, de coachs aptent à nous guider vers une meilleure santé et de l'essentialité du mouvement, s'écroulera perdant en chemin sa sécurité et sa liberté. Selon le neuroscientifique Karl Friston. la vie et la mort se distinguent par le mouvement. Ce qui est vivant bouge avec une force interne alors que le non-vivant bouge uniquement grâce aux forces externes. En ces temps controversés, êtes-vous vivants et souverains ou tire-t-on les ficelles de votre carcasse à votre insu?

En tant qu’humain, nous sommes continuellement en train de prédire l’avenir et ce plus rapidement qu’à chaque milliseconde. Notre cerveau est une machine à prédictions et notre système déteste lorsque ces prédictions sont erronées. Prédire quoi que soit qui n’est pas exacte cause de l’incertitude et demande de l’énergie supplémentaire afin de redéfinir le monde et se redéfinir soi-même. Un exemple simple : boire un café chaud pour la première fois. Inconsciemment, nous bu...Continue reading

Vous l’avez probablement remarqué, il n’y aura pas de retour à la normale. Autrement, désolé de vous prophétiser la mauvaise nouvelle. En fait, c’est une bonne nouvelle, l’ancienne normale, elle était confortablement maladive et hypocritement corrompue. Aux États-Unis, c’est maintenant 40% de la population qui souffre d’obésité. Ici, plus d’un citoyen canadien sur 3 sont obèses. Il a été estimé que les coûts relatifs à l’obésité (incluant les cliniciens, l’hospitalisation et ...la médication) s’élèveront à 9 milliards de dollars annuellement en 2021. Y’a pas juste le système de santé qui est malade. Ce système est caractérisé par un ensemble d’individus. Durant les dernières années, nous avons été figés dans le confort de nos technologies, figés dans le confort de notre maison, figés dans le confort de nos idées et voilà ce que ça donne. Les poudres blanches, ça l’engourdis le cerveau. La livraison à domicile, ça ramolli le corps. Le fast-food, ça l’affaibli l’esprit. Engloutir des divertissements Hollywoodiens ou les nouvelles ça l’appauvri l’âme. Il n’y a pas meilleur temps pour redéfinir ce que la normale sera pour vous aujourd’hui, demain et pour les prochaines années. La récente normale a été annihilée pour nous. Parce qu’on était figés dans notre confort, dans la facilité et dans nos habitudes maladives. Réfléchissez, de quoi avez-vous discuté depuis les 8 derniers mois et de quoi avez-vous envie de discuter pour le reste de votre vie? Ces discussions importent. Les discussions que nous avons, les échanges entre humains sont notre moyen d’apprendre et d’acquérir de l’information. De l’information qui confirmera ce qu’on sait déjà, qui nous permettra de nous consoler dans notre misère et qui nous gardera dans l’ignorance ou de l’information qui chamboulera nos croyances, des idées plus grandes qui ont le potentiel de transformer nos paradigmes. Êtes-vous encore en train de potiner alors que votre santé décline? Êtes-vous encore en train de vous plaindre de la météo alors que votre santé décline? Ou êtes-vous en train d’acquérir de l’information pour mieux comprendre ce qui fait la bonne santé? Ce qui fait la bonne vie? À l’écoute de ce qui vaut la peine d’être entendu? Nous évoluons à même nos discussions et c’est pourquoi il est important de s’entourer de gens ouverts d’esprit pour qui il n’existe pas de question trop profonde ou d’idée trop grande. Comme nous le rappelle Henry Thomas Buckle Les grands esprits discutent d’idées. Les esprits moyen discutent des événements. Les petits esprits discutent des gens. , il n’en reste qu’à nous d’en prendre conscience et de choisir à quelles discussions nous participons. Ultimement, les discussions dans lesquelles nous nous engageons auront des répercussions sur notre santé physique et mentale. Mieux vaut en être conscients.

Le réel DANGER Ce qui nous rend malade ce n’est pas le SARS-cov-2, c’est ce qui se cache dans notre garde-manger, dans notre réfrigérateur, dans nos produits ménagers, dans nos cosmétiques, dans notre eau municipale et dans l’air que nous respirons. Pour ça, y’a juste la distanciation entre vous et ce qui vous empoisonne qui vous protègera. ... Pensez à ce que vous consommer. Pensez à ce que ce que vous consommez a consommé. Si vous vous nourrissez d’animaux malades; nourris aux grains génétiquement modifiés afin de résister à une quantité astronomique de pesticides, et bien vous ne vous nourrissez pas, vous vous empoisonnez à chaque bouchée. On consomme du sucre, des saveurs artificielles, des glucides raffinés, des gras transformés, des pesticides, du fluor dans notre eau, des produits chimiques par notre peau via nos produits ménagers et cosmétique et on pense que de la pharmacologie, les vaccins et les gestes barrière vont nous aider? Si vous êtes convaincu que votre santé est hors de votre contrôle, désolé de vous apprendre qu’on vous a pris pour une belle dinde! #turkeyproblem #Thanksgiving

L'illusion de la sécurité pourrait s'avérée être plus dangereuse que le danger lui-même. Être faussement protégé est doublement nocif. Premièrement parce qu'en réalité on est vulnérable au danger et deuxièmement parce qu'on ne pose aucune action concrète pour surmonter le réel danger.

Challenge FRG | La jarre à biscuit inspiré par David Goggins Voir le challenge https://bit.ly/2Ishg0X... https://www.youtube.com/watch?v=MobGYXeUlvE&t=28s

Merci Rachel pour tes sages paroles!

Forge Ton Mind avec l’épisode #062 Distortion sociale Dans cet épisode, nous discutons du documentaire Netflix Derrière vos écrans de fumée de la version anglaise The social dilemma . Ça fait déjà quelques années que nous discutons de l’influence démesurée qu’ont les plateformes telles qu’Instagram, Facebook, Twitter, YouTube, Google et tous les autres médias ou géants de la technologie. ... Ce documentaire illustre bien les conséquences d’avoir une distraction constante à même sa poche et démontre qu’une grande partie de la polarisation des peuples est actuellement dû aux algorithmes qui, en nous montrant ce en quoi nous croyons, nous plaçant devant l’illusion que nous avons raison et les autres ont tort. Derrière nos écrans de fumée se cache leur objectif : capturer notre attention afin de changer nos habitudes de consommation. @forgeTonMind Podcast See more

Certains jours sont plus difficiles que d’autres. Certaines saisons plus ardues que d’autres. Ce sont ces temps rudes qui forgent notre caractère et qui nous poussent à puiser en nous et y trouver le meilleur de nous-mêmes. La vie est une grande expérience et ce sont les obstacles, plus particulièrement la mémoire d’en avoir surmonté plusieurs, qui avec du recul la rendent significative. Est-ce que croiser la ligne finale serait aussi réjouissant s’il n’y avait pas eu tant d’...efforts, de douleurs et de compromis pour l’atteindre? Est-ce le but de la vie que de la terminer avec un corps immaculé, sans cicatrices ni blessures qui prouvent que nous ayons vécu? À quoi sert d’être en vie si nous n’y découvrons pas ce de quoi nous sommes faits? À quoi sert d’être vivant si c’est pour ne jamais vivre libre et passionné? Certains temps nous donnent envie de rester coucher, d’adopter la position du fétus, de retourner dans le ventre de notre mère, de jouer le mort ou même d’arriver à la ligne finale une bonne fois pour toutes afin de finalement comprendre ce qu’il y a de l’autre côté; comprendre pourquoi nous étions ici; comprendre pourquoi notre vie était remplie d’embûches. Mais rappelons-nous que ce qui nous a été donné, la vie, c’est précieux. C’est une chance que nous avons de pouvoir l’expérimenter, de pouvoir la partager, de pouvoir la ressentir et finalement de pouvoir l’aimer. Quoi qu’il en soit, si nous sommes encore ici aujourd’hui, c’est parce que vous et moi avons survécu aux jours les plus difficiles de notre vie, tous, sans exceptions. Ces défis surmontés sont ancrés quelque part dans notre jarre à mémoires. Lorsque la tempête fait rage, lorsque les vents nous tourmentent, lorsque l’horizon se brouille ou lorsque nous perdons le cap, piger dans cette jarre et croquer dans une de ses mémoires nous rappelle. Ces mémoires nous rappellent une fois de plus que nous sommes plus forts que nous l’imaginions, plus résilients et comme chaque fois, nous avons ce qu’il faut pour naviguer et expérimenter la dérive. Nous arborons tous l’étoffe de la vie. Tout finira par passer. Le bon et le mauvais temps. Tout deux renferment des trésors cachés qui peuvent amplifier notre joie de vivre. Prenez votre jarre, déguster une mémoire, rappelez-vous de qui vous êtes et ce dont vous êtes capables. Rappelez-vous que les douceurs de la vie sont partout et qu’elles sont encore plus savoureuses lorsqu’elles sont partagées. Remplissez-vous d’un savoureux biscuit pour l’esprit. #challengeFRG #FRGbydoing

Pour des gains qui te forgeront afin de vivre la vie dans toute sa splendeur. Avoir le courage d’aimer et l’humilité de vivre des émotions fortes quel qu’elles soient. S’outiller à vivre des bas, est ce qui nous permet de surmonter les obstacles et vivre pleinement nos hauts.... En nature, rien n’est bon ni mauvais; tout a simplement une fonction. Se rapprocher de la nature c’est se retrouver nous-mêmes. #stepplushaut

La réalité ne peux pas être expliquée, seulement expérimentée. Nous sommes ici pour expérimenter cette réalité à l’aide de nos sens. En faire l’expérience que nous partagerons en mots imprécis. Des mots qui rendront rarement justice à l’expérience-même mais qui malgré tout, nous permettrons d’échanger et d’inférer notre expérience sur celle des autres. Nous devons regarder plus loin que les mots afin de voir et comprendre plus profondément que ceux-ci.... Nous ne protégeons pas un système de santé , nous protégeons inadéquatement un système de gestion de la maladie . Avec notre représentation erronée du système, avec une fausse carte du territoire, nos actions peuvent difficilement mener à bon port. Lorsqu’on le regarde, lorsqu’on l’expérimente, c’est clair, on comprend. Nous protégeons ce système en croyant qu’il nous apportera la santé, mais au mieux il allégera nos symptômes et la gravité de notre maladie. La santé et le bien-être existent sur un large spectre et nous seuls expérimentons, consciemment ou inconsciemment, où nous nous situons sur ce spectre. Ceux qui croient déjà expérimenter la santé iront que très occasionnellement visiter notre système de santé et recueillir conseil dans leur établissement. À moins d’une blessure grave ou une atteinte imminente à leur vie, ils se tiendrons loin des hôpitaux et de leurs pratiques. La façon efficace de désengorger notre système de gestion de la maladie serait d’avoir un système qui nous permet de passer de malade à moins malade, de moins malade à mieux et de mieux à en santé. Un système que l’on pourrait vraiment nommer et qualifier de système de santé. Ce système existe, quoi que clos actuellement au Québec et peu reconnu pour ses fonctions, il regroupe l’ensemble des centres d’entrainement, des coachs de tous genres, de l’enseignant d’arts martiaux aux chiropracticiens aux professeurs de danse. Des spécialistes qui ont le potentiel d’enseigner la maîtrise de soi, l’autonomie et la résilience à travers multiple disciplines qui développent nos capacités, qui nous poussent à l’apprentissage, qui nous font connecter avec un groupe d’humains ; groupe dans lequel la présence et le soutient de chaque individu encourage le dépassement de soi. C’est avec ces groupes que nous nous élèverons. C’est avec ces disciplines que nous retrouverons notre santé. C’est avec ces enseignants que nous apprendrons à mieux être. Les seuls obstacles qui nous séparent d’une version plus vivante et plus aimante de nous-mêmes sont des mots. Des mots virulents qui, si le statu quo est maintenu, se muteront en maux.