Éditions Fortissimo
687 ch. Riverside J0X 3G0 Wakefield, QC, Canada

Aujourd'hui débute le mois d'avril, le mois de l'autisme. Vous verrez passer différentes activités de sensibilisation et diverses occasions pour en connaître davantage sur la réalité que vivent les personnes, adultes et enfants, autistes. Je trouve que cette vidéo produite par la Fédération québécoise de l'autisme est parfaite pour le jour 1 du mois de l'autisme, avec une courte petite leçon de vocabulaire. ... Parce que les mots ont un pouvoir immense. "La richesse de la diversité, ça nous allume". Nous aussi.

La photo de gauche, c’est une photo officielle, formelle d’Anne-Marie et moi. On s’était mises toutes belles pour la photo. On avait le gros sourire parce qu’on venait toute juste de présenter les vidéos aux enfants qui avaient participé au tournage de Pseudo. Celles de droite, on nous voit dans notre vraie vie d’entrepreneures deux ans plus tard, Anne-Marie à Montréal, moi, à Wakefield, dans l’Outaouais. On a encore le gros sourire parce qu’on travaille sur des trucs excita...nts et ça va enfin être bientôt prêt Au milieu, c’est encore nous, en train d’incuber nos projets d’entreprise! Ben oui, deux poules couveuses sur le même nid! Nous sommes en réalité dans un incubateur d’entreprise : c’est une organisation qui accompagne des start-up dans les premières étapes de vie de l’entreprise. Et une start-up, vous l’aurez compris, c’est une très jeune entreprise, comme nous (ben, notre entreprise, je veux dire), et pour assurer sa croissance, l’incubateur veille à lui fournir des outils pour qu’il puisse grandir et voler de ses propres ailes. On nous y offre des pistes de réflexions, on brasse de nouvelles idées, on partage des points de vue, on créé des ébauches, on réfléchit ensemble, on efface et on recommence pour faire mieux et tout le long, on y fait des rencontres humaines des plus enrichissantes. Au final, le plus beau de l’histoire, c’est que c’est pas juste notre start-up qui grandit, c’est nous comme humains. Et si dans le grand plan, c’était ça le plus important? Merci Farid Dagher, de Cilex

Avez-vous déjà eu la chance de chanter dans une chorale? Jouer dans une harmonie ou un orchestre symphonique? Ou avez-vous simplement déjà assisté à un concert ? Si oui, vous aurez peut-être réalisé, comme moi, que jouer de la musique en groupe est une expérience sociale qui va bien au-delà d’un exercice technique complexe. Faire de la musique en groupe, c’est apprendre à écouter l’autre, à se regarder pendant qu’on joue, à respirer ensemble pour être synchro, à essayer de...Continue reading

Question facile pour débuter le weekend! En prévision de nos prochaines publications sur notre page, on aimerait mieux vous connaître..., savoir pourquoi vous vous intéressez à la musique , au développement et aux apprentissages? Vous n'avez qu'à répondre par par a,b,c,d,e ou, f! Etes-vous un (e): a) parent d'enfant d'âge préscolaire... b) intervenant en services de garde éducatifs c) enseignant de musique d) enseignant préscolaire/1ère année e) intervenant en milieu communautaire f) ni l'un ni l'autre! Dites-nous en plus... Merci! On poursuit nos échanges très bientôt... Passez un super weekend! See more

Dans les années 1991, quand j’ai terminé mon Bacc en musique, les enseignants de musique des écoles primaires et secondaires du Québec devaient couramment défendre leur place. La musique, ce n’était pas une vraie matière. Pas aussi importante en tous cas que le français, les maths et le reste. C’était en 1991. On peut comprendre qu’à l’époque, au-delà de l’intuition, on ignorait tout d’un point de vue scientifique des bienfaits de l’apprentissage de la musique. On ne savait...Continue reading

Texte fort intéressant d'une enseignante à la retraite sur cette question qui me touche droit au coeur depuis plus de 20 ans dans ma vie professionnelle... Comment préparer la réussite éducative en lecture et l'écriture chez TOUS les enfants? Chez ceux qui ont des difficultés langagières? Chez ceux qui ont des parents ayant connu des difficultés d'apprentissage et qui risquent eux aussi de connaître des difficultés similaires? Chez ceux qui ont tellement peu confiance en ...eux qu'ils abandonnent dès le premier défi? Chez ceux provenant de milieux vulnérables ayant peu d'expériences avec l'écrit? Chez ceux qui ont des blessures béantes sur le plan affectif qui les empêchent d'être disponibles aux apprentissages? Chez ceux qui peuvent difficilement soutenir leur concentration? Certes, les enfants doivent connaitre les sons et les les lettres avant d'apprendre à lire mais ultimement, ces habiletés isolées ne seront pas suffisantes pour en faire des lecteurs compétents... Dans une approche systémique, Mme Jasmin propose 4 pistes de solutions concrètes dont celle-ci: "Remettre les arts au coeur de l'apprentissage des tout-petits, car les arts sont un langage universel qui fait du bien, qui développe la confiance en soi, la créativité, la résolution de problèmes, qui répare le mal-être.(...) Offrir aux enfants de maternelle des cours de musique et encourager la pratique quotidienne d'activités musicales". Oui, oui, oui. La littérature scientifique regorge de données probantes sur les effets bénéfiques de la musique sur le bien-être, le développement cognitif et global et les apprentissages des enfants. Il est grand temps de changer l'éducation et de redonner aux arts leur place essentielle.

Je cite: Partager la musique avec un enfant, c’est lui permettre d’être écouté et d’apprendre à écouter. C’est fondamental. La base pour l’être humain. Merci aux musicothérapeutes qui changent la vie des personnes loin des projecteurs! Nadia Delisle, Méliane Laurier-Cromp, MTA