El Flan

This is so exciting! It has been a week since we launched el flan and the orders have been pouring in non-stop. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et votre aide à partager notre projet. Nous sommes ravis que nos flans se rendent... à votre table et sommes choyés d’accompagner vos moments avec douceur et bonheur. De votre plus grand flan.

THE STORY It was something we always looked forward to. Back in Colombia, my mom used to prepare flan only on very special occasions: family visits, birthdays, and holidays. She only made one at a time. She would cut the perfect circle into eight slices, sometimes more, depending on the number of people at the table. When it was just the four of usmom, dad, my sister and Iwe could get seconds. Occasionally, I would save mine for the next day, when it tasted even better: my ...favourite! It always tasted better two or three days later, although there were rarely any leftovers by then. Looking back, I loved everything about the flan, especially its texture. My favourite part was when my mom would let me scrape the mold clean of bits of sugar and custard after we had devoured the rest. Decades later, as an adult and as a Montreal-adopted citizen, I asked my mom for the recipe and made it myselfthe first time since I had left home. Childhood memories came rushing through me all at once. It was like travelling through time and space to a place I could only verbalize as pure happiness. I started baking flan every chance I could, sharing it with the people I love most. And while the recipe remains the same as it was decades ago, the only addition is a hint of maple syrup and the frequency in which I share flan with my loved ones, in my new home. Everywhere I go, sharing my flan, people love it. This is how, little by little, through word of mouth, my mom's flan became THE flan. Now, you also have the chance to enjoy my family’s flan, make it your own and be part of the biggest flan club!

L’HISTOIRE En Colombie, nous l'attendions toujours avec la même excitation... Ce n'était certainement pas tous les jours que ma maman nous préparait un flan. Non! Ce dessert de mon enfance était consacré aux grands jours et aux occasions spéciales : la famille venue de loin, la fête des Pères, l'anniversaire de grand-maman, ou encore la célébration d’un événement important. Elle n'en préparerait qu'un seul, un rond, qu’elle divisait en huit plus ou moins grandes pointes selo...n le nombre d’invités à la table. Parfois, lorsque nous étions seulement les quatre, maman, papa, ma sœur et moi, nous avions aussi droit à une deuxième portion. À cette occasion, je conservais mon second morceau pour le lendemain, car il goûtait toujours meilleur, deux ou trois jours plus tard même s’il était bien rare qu’il en restait au troisième jour. Avec du recul, je peux aujourd’hui dire que j'aimais tout du flan particulièrement, sa texture si moelleuse et fondante en bouche. Mais par-dessus tout, j’adorais lorsque maman me laissait gratter le sucre au fond du moule. Un régal! Des années plus tard, devenue adulte et maintenant déménagée à Montréal, j'ai demandé la recette à maman. C'était la première fois non seulement que je cuisinais, mais également que je savourais ce délice depuis que j’avais quitté la maison. Une quantité incroyable de souvenirs me sont revenus à l'esprit. Les yeux fermés, dégustant doucement chaque bouchée, je vivais un véritable voyage dans le temps dans lequel saveurs et odeurs me transportaient vers un bonheur infini. J’ai donc relancé la tradition familiale du flan et commencé à en faire à chaque occasion afin de le partager avec les gens qui me tenaient à cœur. Et bien que la recette demeure la même depuis des décennies, je me suis permis l’ajout d’une touche de sirop d'érable pour adapter ce dessert à mon nouveau chez moi et lui donner un petit goût local. Depuis, les gens adorent et en redemandent. Dans mon cercle d’amis proche et étendu, le flan de maman est devenu LE flan. À vous maintenant la chance de vous régaler et de faire partie du plus grand flan club!