Farida Sam, ex-candidate du Parti Québécois dans Acadie
1375 Fleury Est H2C 1R6 Montreal, QC, Canada

Le militantisme dans le sang depuis mon jeune âge.

Joyeux Noël et bonne année 2019 à tous ceux et celles qui m'ont appuyée lors de la dernière campagne électorale. Santé, bonheur et prospérité. https://www.joliecarte.com/cartes/5494/joyeuses-fetes Votre ex-candidate Farida Sam.

Je salue la bravoure et le courage de Thomas Gaudreault, un jeune aux convictions profondes qui a fait partie des candidats et candidates qui ont défendu les couleurs de notre parti lors des élections du 1 octobre. Sa nouvelle participation à l’élection partielle du 10 décembre prochain, pour le compte de ce même parti, montre tout l’amour qu’il porte à sa région, Saguenay-Lac-Saint-Jean, qu’il souhaite représenter à l’Assemblée nationale pour défendre efficacement les intérêts de sa population et bien entendu ceux de notre Québec. Nous sommes derrière vous monsieur Gaudreault et sachez que lorsqu’on veut on peut.

2403 Merci La campagne électorale 2018 m’a permis de faire appel à l’engagement politique et aux convictions souverainistes qui ont toujours animée ma jeunesse dans ma Kabylie natale et dont je me suis servie pour faire une bonne campagne dans mon Québec adoptif pour le compte Parti Québécois. Et ce, dans un des grands fiefs libéraux qu’est celui d’Acadie dont plus de la moitié de la population est issu de l’immigration. Un défi certes insurmontable mais qui me semblait affr...ontable. N’ayant rien à perdre mais tout à gagner, j’ai donc osé affronter ce défi en allant sillonner, en long et en large avec un ancien candidat du parti et quelques membre de ma communauté, un grand nombre de quartiers où j’ai eu le plaisir de rencontrer de nombreux citoyens et citoyennes qui m’ont réservé un accueil chaleureux. En dépit de la défaite électorale de notre parti, celui-ci demeure, que ses adversaires le veuillent ou pas, un grand parti qui sans aucun doute pourrait rebondir dans quatre ans pour mener un jour le peuple québécois vers sa véritable liberté qui lui permettra de faire respecter sa langue et ses valeurs tout ayant le plein pouvoir de s’exprimer en son nom et librement sur la scène internationale. Quant au chef démissionnaire, nul ne peut nier cette stature d’homme d’État que des chroniqueurs et milliers de personnes, de toutes origines, ont décelée en lui. Notre parti aura toujours besoin de leaders comme lui. Je remercie donc de tout cœur les membres de ma communauté et les membres du parti qui m’ont aidée dans cette campagne électorale 2018 marquée par une vague passagère bleu pâle semblable à la vague orangiste qui avait marqué les élections fédérales de 2011. Sans oublier bien entendu les électeurs et électrices qui m’ont fait confiance en votant pour moi. C’est face au risque de disparition des peuples minorés, auquel pourrait s’exposer un jour le peuple québécois et engendré par la mondialisation que nous vivons, qu’on reconnait la résistance et la solidité des indépendantistes aux valeurs et convictions profondes.