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Hypothèque Signature 12.05.2021

Le mot commençant par B est de retour dans les discussions sur le marché canadien du logement. Les plus récents chiffres de l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) expliquent pourquoi les craintes d’une bulle sont à la hausse. En février, les ventes ont fait un bond de près de 40 % par rapport à l’année précédente, établissant ainsi un nouveau record. Les ventes ont augmenté de près de 7 % par rapport à janvier. Le prix moyen national a bondi de 25 % sur douze mois.... Aussi, le nombre de nouvelles inscriptions a rebondi en février par rapport au mois précédent, mais les stocks demeurent à des niveaux historiquement bas. À l’échelle nationale, l’offre n’est que de 1,8 mois. La Banque du Canada a exprimé des inquiétudes quant à la surchauffe. Le gouverneur Tiff Macklem a fait savoir que certains signes indiquent que la spéculation immobilière s’intensifie. [Traduction] Ce qui nous inquiète, c’est quand nous commençons à voir poindre des attentes extrapolatives, quand nous commençons à voir des gens s’attendre à ce que les hausses de prix insoutenables comme celles que nous avons récemment connues se poursuivent indéfiniment et qu’ils fondent leur décision immobilière sur de telles hypothèses. C’est la mise en garde que Macklem a lancée plus tôt ce mois-ci. D’autres observateurs du marché soulignent des facteurs moins bouillonnants. [Traduction] Je pense que c’est en partie la demande qui s’est accumulée dans la foulée des changements réglementaires apportés au cours des années ayant précédé la COVID et qui se manifeste maintenant. Une partie de cette demande est tirée de l’avenir, soit à la recherche d’un port d’attache pour survivre à la pandémie, soit pour conclure un achat dans un contexte de hausse rapide des prix tout en bénéficiant d’un taux hypothécaire plus bas que jamais , a affirmé Shaun Cathcart, économiste principal de l’ACI. Tsuriel Somerville, professeur d’économie urbaine à l’Université de la Colombie-Britannique, pense que des facteurs démographiques pourraient pousser le marché. Il pense également que la COVID-19 a pu accélérer certaines transactions qui auraient eu lieu de toute façon, mais sur une plus longue période. Selon Somerville, les millénariaux dont on dit qu’ils sont satisfaits d’être locataires et de vivre dans une économie du partage finiront par accéder au marché de la propriété lorsque leur situation démographique le dictera.

Hypothèque Signature 03.05.2021

Alors que nous soulignons la marque des douze mois de la COVID-19, qui est devenue le centre de notre univers, il règne une atmosphère de véritable optimisme. La distribution des vaccins est en cours, le nombre de cas diminue et le bilan économique n’est pas aussi lourd qu’initialement craint. Les plus récents chiffres de l’emploi montrent un beau rebond, avec 259 000 emplois créés en février. Nombre de ces emplois se trouvent dans des secteurs ayant été les plus durement tou...chés par les confinements attribuables à la pandémie. Les conséquences désastreuses qui avaient été prédites pour le marché du logement ne se sont pas non plus réalisées. Les ventes et les prix de vente des maisons battent des records. Les mises en chantier sont en hausse. De plus, les acheteurs de maisons semblent avoir une assise financière très solide et ils semblent également se concentrer sur leurs prêts hypothécaires. Dans son plus récent rapport sur les données du secteur, la firme d’évaluation de crédit TransUnion indique que de nombreux consommateurs réduisent leur niveau d’endettement. Les nouveaux montages de facilités de crédit non garanties sont pour la plupart en baisse. Les lignes de crédit personnelles ont chuté de 37 %, les cartes de crédit de 35 % et les prêts personnels de 18 % au quatrième trimestre par rapport à l’année précédente. En même temps, le crédit hypothécaire a augmenté de 5,6 %, tandis que le solde moyen des prêts hypothécaires en cours a augmenté de 5,7 % pour s’établir à 293 000 $. De plus, des données de TransUnion montrent que les taux de défaillance ont baissé par rapport à l’année précédente, et ce, malgré la réduction progressive des programmes de report de paiements. Les défaillances non hypothécaires ont chuté de plus de 28 % au cours des douze derniers mois. L’Association des banquiers canadiens indique que seulement 0,22 % des prêts hypothécaires résidentiels étaient en souffrance au quatrième trimestre de 2020.

Hypothèque Signature 27.04.2021

Bas taux d’intérêt : un véritable casse-tête Il faudra faire preuve d’imagination pour trouver de bons rendements. Mieux vaut s’en accommoder, les bas taux d’intérêt sont là pour rester. Les investisseurs devront donc continuer à faire preuve d’imagination pour trouver des rendements intéressants sans prendre trop de risques....Continue reading

Hypothèque Signature 11.04.2021

Depuis le début de l’année, l’inflation augmente au Canada. Le taux global pour janvier a bondi à 1,0 % annuellement par rapport à 0,7 % en décembre. Selon Statistique Canada, le bond de janvier est largement attribué à la hausse des prix de l’essence. L’organisme indique que, en général, de futures hausses pourront également être attribuées aux coûts d’énergie. L’augmentation n’est pas attendue. La Banque du Canada prévoit une nouvelle accélération, mais elle indique égaleme...nt que celle-ci sera probablement temporaire. La Banque ne s’attend pas à voir l’inflation augmenter de façon soutenue jusqu’à l’objectif de 2,0 % avant 2023. La BdC ne prévoit pas d’intervenir dans les variations de taux d’intérêt d’ici là. L’inflation fondamentale, que la banque centrale utilise pour élaborer sa politique, est un peu plus élevée que le taux global, à 1,5 %, contre 1,4 % révisé en décembre. Le taux de décembre a été rajusté à la baisse par rapport à 1,6 % dans le rapport de janvier. L’indice des prix à la consommation de janvier a augmenté de 0,6 % par rapport à décembre. Alors que l’inflation et l’IPC augmentent, les prix des logements s’accélèrent à un rythme pédale au plancher . Le prix global de référence de l’Association canadienne de l'immobilier a augmenté de 13,5 % sur une base annuelle, pour atteindre près de 670 000 $. Cette augmentation est attribuée à la baisse continue de nouvelles inscriptions, lesquelles ont chuté de plus de 13 % entre décembre et janvier.

Hypothèque Signature 26.03.2021

Comme presque tous les aspects de la vie quotidienne tournent autour de la pandémie du coronavirus et la COVID-19, le marché canadien de l’habitation continue de tourner à plein régime. Dans le cinquième et dernier volet de son rapport sur l’évolution rapide des attentes dans le marché de l’habitation, Professionnels hypothécaires du Canada (PHC) laisse entendre que cette tendance devrait se poursuivre. L’enquête de PHC suggère que la pandémie a peu contribué à freiner le dés...ir d’accéder à la propriété. En fait, le plus récent rapport montre une augmentation marquée du nombre de non-propriétaires ayant l’intention d’accéder à la propriété au cours des 12 prochains mois. La proportion est passée de 7 % à la fin de 2019 à 27 % à la fin de janvier 2021, ce qui est remarquable, car ce pourcentage augmente de rapport en rapport. Le pourcentage de propriétaires actuels ayant le désir d’acheter est passé de 7 % à 10 %. L’auteur des rapports, l’économiste en chef de PHC, Will Dunning, cite trois facteurs contributifs : La pandémie alimente le désir de changer l’espace de vie (qu’il s’agisse du besoin de plus d’espace ou de la possibilité de travailler à distance); Des taux d’intérêt exceptionnellement bas rendent l’accession à la propriété plus abordable financièrement malgré les fortes hausses de prix; Et, dans une certaine mesure, des achats de panique sont déclenchés par le syndrome FOMO (la crainte de manquer à l’appel). L’optimisme quant à l’amélioration de ses finances personnelles semble également jouer. Alors que près de 30 % des gens (dans certains cas) ont subi des effets négatifs sur leur emploi et leur situation financière, environ 30 % sont optimistes quant à une amélioration de leur situation. Près de la moitié s’attendent à peu de changement, voire à aucun changement. Quelque 10 % craignent que leur situation s’empire. L’enquête suggère également qu’il y a un plus grand degré d’optimisme parmi les personnes ayant encaissé des pertes de revenus. Plus de 40 % des personnes formant ce groupe pensent que les choses vont s’améliorer. Mais près de 30 % pensent le contraire. Et environ le quart s’attend à ce que peu change.

Hypothèque Signature 02.02.2021

Le désir d’accéder à la propriété demeure fort au Canada. La plus récente enquête menée par l’une des grandes banques du pays pour prendre la mesure des intentions d’achat d’une maison indique que près de 60 % des Canadiens aspirent à devenir propriétaires d’une maison. Un peu plus de la moitié de ces personnes sont à la recherche d’une maison individuelle. L’accessibilité financière demeure une préoccupation majeure, environ 60 % des personnes interrogées déclarant que les... maisons dans leur quartier sont inabordables. Selon l’enquête, au Canada, le budget moyen pour l’achat d’une maison s’élève à 445 000 $. L’Association canadienne de l’immobilier (ACI) chiffre le prix moyen d’une maison (tous types confondus) à 607 000 $. Sans surprise, un pourcentage considérable des personnes interrogées 45 % s’attendent à devoir quitter la municipalité qu’elles habitent actuellement pour acheter une plus grande maison. L’évolution des besoins en matière d’habitation et le désir d’acquérir une propriété plus spacieuse sont les principaux moteurs du marché à l’heure actuelle. Ces acheteurs bénéficient d’un certain répit qui prend la forme de taux d’intérêt qui restent bas. La Banque du Canada a clairement indiqué qu’elle ne prévoit aucune augmentation des taux avant 2023. Moyennant le déploiement rapide des vaccins contre la COVID-19, l’économie devrait connaître une reprise forte, mais agitée. Il est certain que l’arrivée plus précoce que prévu du vaccin est un développement très positif. Mais nous partons d’un trou plus profond", déclare le gouverneur de la Banque du Canada, Tiff Macklem. La banque centrale mise sur une reprise stable et durable. Des analystes et observateurs du marché s’attendent à ce que la Banque réduise son programme d’assouplissement quantitatif avant de se tourner vers des hausses de taux d’intérêt à mesure que la situation économique s’améliore et que l’inflation revienne, de manière durable, vers sa cible de 2 %.

Hypothèque Signature 20.01.2021

Marqué par le début de la distribution des vaccins contre la COVID-19, le mois de décembre s’est avéré un autre mois record au Canada en matière de ventes de maisons. Les chiffres de l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) pour décembre témoignent d’une augmentation des ventes sur douze mois de l’ordre de 47,2 %. C’est un nouveau record pour le mois de décembre et la plus forte augmentation annuelle en 11 ans, par une marge de 12 000 unités. De novembre à décembre, les... ventes ont bondi de 7,2 % ce qui représente un autre record historique. Une statistique connexe, mais plus ésotérique montre que l’activité désaisonnalisée affichait un rythme annualisé de 714 516 unités en décembre dernier. C’était la première fois que les ventes mensuelles à des taux annuels désaisonnalisés dépassaient la barre des 700 000 unités. La méthode que privilégie l’ACI pour le suivi des prix des maisons, soit l’Indice composite agrégé des prix des propriétés MLS, a augmenté de 1,5 % en décembre par rapport à novembre et a progressé de 13 % sur douze mois, ce qui représente la plus forte hausse depuis juin 2017. En décembre 2020, le prix moyen national d’une maison au Canada était de 607 280 $, en hausse de 17,1 % par rapport à décembre 2019. En excluant les marchés poids lourds de Toronto et de Vancouver des calculs, le prix moyen national chute d’environ 130 000 $ pour s’établir à 477 000 $. Pour l’ensemble de 2020, plus de 551 000 propriétés ont changé de mains. C’est un nouveau record. Il s’agit d’une augmentation de 12,6 % par rapport à 2019 et de 2,6 % par rapport au précédent record établi en 2016. Ce qu’il faudra surveiller en 2021 est le ratio ventes/nouvelles inscriptions. Le nombre de nouvelles inscriptions a augmenté de seulement 3,4 % en décembre. Le ratio s’élève maintenant à 77,4 %; il s’agit d’un de ses niveaux les plus élevés jamais enregistrés. La moyenne à long terme s’établit à 54 %.

Hypothèque Signature 08.01.2021

Les effets de la pandémie du coronavirus font qu’il est aujourd’hui plus difficile de prédire ce qui est susceptible de se produire dans le marché immobilier résidentiel. Cependant, deux des principaux courtiers immobiliers du pays s’attendent à une augmentation continue de la demande et à une pression à la hausse sur les prix. En effet, à la fois Re/Max et Royal LePage considèrent que la demande de maisons individuelles plus grandes, sur des terrains plus vastes, représente ...le principal moteur du marché. Il y a eu une nette évolution vers des propriétés plus grandes et des habitations individuelles en 2020, les familles ayant réaménagé leur maison pour y intégrer bureau, salle de classe, gymnase et aire de restauration pendant la pandémie , explique Phil Soper, président de Royal LePage. Nous avons constaté depuis l’été de nombreuses preuves anecdotiques que les ménages envisagent de modifier considérablement leur mode de vie en se déplaçant vers des villes et des quartiers moins denses , déclare pour sa part Christopher Alexander, premier vice-président de Re/Max. Les chiffres de l’emploi de décembre de Statistique Canada montrent que 200 000 Canadiens de plus travaillent à domicile, pour un total de 4,8 millions. Bien plus de la moitié de ces personnes, soit 2,8 millions, ne travaillent pas normalement à domicile. Royal LePage voit ce changement comme s’inscrivant dans un changement démographique plus large ayant été simplement accéléré par la pandémie. En raison de la pandémie, l’adoption par les entreprises canadiennes du travail à domicile n’a fait qu’accélérer des schémas de réinstallation déjà en cours, explique M. Soper. Une fois les enfants partis du nid familial, l’énorme population des baby-boomers a commencé la migration vers la banlieue ou des communautés axées sur les activités récréatives au milieu de la dernière décennie, et un nombre important de membres de la génération des millénaires, tout aussi populeuse, sont sortis des appartements du centre-ville à la recherche d’espace au moment de fonder des familles , ajoute-t-il. M. Soper affirme également que la tendance vers une demande élevée hors des centres urbains s’atténuera lentement, soit à mesure que les inscriptions dans les centres-villes deviendront plus concurrentielles par rapport aux prix croissants affichés dans les régions suburbaines et exurbaines. Les prévisions de Re/Max suggèrent que les Canadiens sont généralement partagés à parts égales quant à l’endroit où ils préfèrent vivre. Environ trois personnes sur dix expriment une préférence pour une région urbaine, une région suburbaine ou une région rurale.

Hypothèque Signature 30.12.2020

En cette année où presque tout ce qui est économique et financier a été mis sur la sellette, voici une autre anomalie provoquée par la pandémie de COVID-19. L’endettement des ménages est à nouveau en hausse et les prêts hypothécaires y sont pour beaucoup. Le plus récent décompte de Statistique Canada montre que le ratio d’endettement des ménages canadiens est remonté à 170,7 % au troisième trimestre. Cela signifie que le ménage canadien moyen doit 1,71 $ pour chaque dollar de... revenu disponible (après impôt). C’est une hausse importante par rapport aux 1,63 $ du deuxième trimestre, mais nettement moins que les 1,81 $ du début de l’année. La baisse enregistrée au deuxième trimestre est largement attribuée aux paiements de soutien gouvernemental, aux reports de paiements hypothécaires et à d’autres mesures d’allégements de la dette ayant permis aux Canadiens de dépenser beaucoup moins tout en continuant de percevoir un revenu. L’accumulation de liquidités se traduit par un taux d’épargne national qui a monté en flèche pour atteindre 27,5 % au cours du trimestre. Ce taux est redescendu à 14,6 % au troisième trimestre, mais il demeure néanmoins bien au-dessus de la moyenne historique. Selon une estimation, les ménages canadiens ont accumulé 90 milliards de dollars d’économies depuis le début de la pandémie. Cependant, l’augmentation du nombre d’emplois, la réduction progressive des mesures d’aide fédérales et la fin des reports de paiements font que les ménages dépensent à nouveau et qu’ils n’ont pas perdu l’habitude de s’endetter. Au deuxième trimestre, le total des emprunts s’est élevé à 7,2 milliards de dollars. Au troisième trimestre, il a atteint 34,8 milliards de dollars, dont un record de 27,8 milliards de dollars en prêts hypothécaires. La valeur nette des ménages a augmenté de 3 % au troisième trimestre, grâce aux gains réalisés dans les marchés de l’immobilier résidentiel et des actions. Cependant, au cours du même trimestre, le revenu disponible a baissé de 3,1 %.

Hypothèque Signature 18.12.2020

Y-a-t-il une spéculation immobilière au Québec et au Canada ? Nous avons été surpris par la vigueur récente du marché immobilier, qui a connu une reprise en V alors que le marché de l’emploi est encore très loin d’être revenu à la normale. On voit des prix 20 % plus élevés que l’an dernier à pareille date. Et quand on observe le marché en détail, on réalise que ça ne s’explique pas uniquement par l’activité des marchés les plus dispendieux comme Toronto et Vancouver , dit ...Katherine Judge. Selon l’experte, tous les chiffres du marché sont plus élevés qu’avant la pandémie, qu’il s’agisse des ventes, des nouvelles inscriptions ou des moyennes de prix. Le rapport ventes/inscriptions s’approche d’un record, et l’inventaire de propriétés se resserre. Mais elle doute que cela pourrait durer, car on n’entrevoit pas de pleine reprise économique avant au moins 2022. Nous avons connu une récession asymétrique, où 80 % des emplois perdus l’ont été dans des secteurs où les salaires sont bas. La demande que l’on observe dans l’immobilier reflète simplement le fait qu’une bonne partie des emplois les mieux rémunérés se sont maintenus , analyse Katherine Judge. Elle note que la demande de maisons individuelles est très élevée, en partie par manque de nouvelles constructions. En comparaison, beaucoup de résidences multifamiliales arrivent sur le marché alors que la demande s’est affaiblie et que des logements à louer à court terme ont été convertis en locations à long terme, venant s’ajouter à une offre déjà élevée. Nous sommes désormais entrés dans une nouvelle vague d’infections du coronavirus, et la croissance économique s’annonce faible, alors nous ne voyons pas comment le marché immobilier peut maintenir sa trajectoire actuelle. La propagation du virus mine la confiance des gens et remet en cause la sécurité de leur emploi, incluant parmi les mieux rémunérés cette fois-ci. Nous nous attendons donc à un ralentissement de la demande, même dans le segment des maisons individuelles , dit l'experte.