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Locality: Laval, Quebec

Website: www.infohypothecairequebec.com/

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Info hypothécaire Québec 15.01.2021

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 7 decembre 2020 De l’information qui évolue rapidement, qui change constamment et qui est souvent contradictoire fait qu’il est difficile de prévoir ce que réserve l’avenir d’un point de vue économique. Cependant, quelques rapports récents peuvent donner quelques indications quant à l’évolution de l’immobilier résidentiel et des prêts hypothécaires. Une enquête récente menée par la firme de courtage Properly... semble renforcer des notions courantes selon lesquelles certaines personnes en particulier parmi les milléniaux recherchent plus d’espace à l’intérieur et à l’extérieur de leur habitation en raison d’avoir été confinés pendant la pandémie de COVID-19 et du désir de conserver l’option de travailler à domicile. Selon l’enquête menée par Properly, plus de la moitié des milléniaux sont heureux de leur espace de vie actuel. Leurs préférences se sont déplacées comme suit : - Vers des maisons individuelles (45 %) - Vers plus de pieds carrés (44 %) - Vers de meilleurs aménagements de bureau à domicile (28 %) - Vers des cours arrière plus spacieuses (57 %) - Vers la proximité d’espaces verts (34 %) Parmi les milléniaux ayant exprimé le désir d’une nouvelle habitation, environ 8 % ont affirmé avoir un projet d’achat ferme l’année prochaine. C’est deux fois plus que les 4 % répertoriés parmi le reste de la population, selon l’enquête. Ce rapport s’inscrit dans le cadre d’une enquête récente menée par RE/MAX auprès de courtiers immobiliers. Il suggère que les acheteurs qui veulent s’installer dans plus grand ou changer de ville (ou de province) sont considérés comme les principaux moteurs des ventes au cours de l’année à venir. Quarante-cinq pour cent des courtiers s’attendent à ce que les acheteurs qui achètent des maisons et des propriétés plus grandes soient une des principales forces mobilisatrices du marché. Trente-cinq pour cent soutiennent que ce sont les acheteurs qui changent de ville qui propulseront le marché. Les deux rapports suggèrent que la pression sur les prix, résultant du faible niveau de stocks, continuera d’être la principale considération au moment d’un achat ou d’un déménagement (dans une autre ville ou dans plus grand). Cependant, la faiblesse persistante des taux d’intérêt continuera d’être un facteur atténuant.

Info hypothécaire Québec 10.01.2021

https://www.journaldemontreal.com//un-preteur-virtuel-pour

Info hypothécaire Québec 02.01.2021

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 23 novembre 2020 Lorsque la pandémie de COVID-19 a été déclarée et que les premiers confinements ont été annoncés au printemps, les Canadiens ont commencé à se constituer des réserves. Ils se sont mis à vider les rayons des magasins de tout, depuis des conserves jusqu’à des produits de nettoyage sans oublier le fameux papier hygiénique. Il s’avère qu’ils ont également commencé à accumuler leur argent.... Un nouveau rapport produit par les éminents économistes Katherine Judge et Benjamin Tal estime que les ménages canadiens ont épargné collectivement 90 milliards de dollars au-delà de ce qu’ils auraient mis de côté en l’absence de la pandémie. Il s’agit de la plus grande accumulation d’argent liquide jamais enregistrée. Le taux d’épargne au Canada a bondi à 28,2 % au deuxième trimestre de cette année par rapport à seulement 3,6 % au premier trimestre. En se guidant sur les chiffres américains, les économistes estiment que le taux est actuellement de 13 %. Malheureusement, la COVID n’a pas permis à tous les Canadiens d’assainir leur situation financière. Alors que les programmes d’aide gouvernementaux ont fourni un soutien du revenu à des millions de Canadiens, les économistes Tal et Judge estiment que la majeure partie de l’argent ayant abouti dans les comptes de chèques et d’épargne s’explique par une réduction des dépenses. Selon les statistiques américaines utilisées par les économistes, dépenser moins est l’option préconisée par les ménages à revenus moyens et élevés. Les ménages à faibles revenus, qui ont été les plus durement touchés par les restrictions et les confinements imposés en raison de la pandémie, doivent encore aujourd’hui consacrer une part plus importante de leurs revenus à l’achat de produits de première nécessité. Judge et Tal ne s’attendent pas à voir ces économies réinjectées dans l’économie de sitôt. Ils s’attendent à ce que la deuxième vague de la pandémie et l’imminente grippe saisonnière freinent les dépenses pendant une bonne partie du premier trimestre de l’an prochain.

Info hypothécaire Québec 19.12.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 16 novembre 2020 nov. 16, 2020 Cette année marque le 10e anniversaire du Mois de la littératie financière, la campagne annuelle de sensibilisation et d’information du gouvernement fédéral. Le thème de cette année est, à juste titre, la gestion des finances en période difficile .... Une récente enquête menée par Comptables professionnels agréés du Canada révèle à quel point les temps sont difficiles pour les Canadiens. Elle suggère qu’un tiers des Canadiens ressentent un stress financier accru à cause de la COVID-19. Des pourcentages similaires de Canadiens affirment que la pandémie a eu pour effet de réduire leurs revenus (31 %) ou les a contraints de réduire les montants qu’ils épargnent (30 %). L’enquête révèle néanmoins que les Canadiens continuent d’épargner avec rigueur, 63 % d’entre eux détenant un compte d’épargne, 60 % plaçant de l’argent dans un CELI et 53 % cotisant à un REER ou à un RER. Étant donné le nombre de Canadiens qui traînent une dette hypothécaire à l’approche de la retraite, il est intéressant de noter que 21 % des répondants préretraités affirment qu’ils prévoient maintenant de prendre leur retraite plus tard en raison de la COVID-19. L’enquête indique aussi que 55 % des Canadiens ont réduit leurs dépenses. Moins de la moitié des personnes interrogées (46 %) déclarent que leur situation financière n’a pratiquement pas changé depuis un an. Malgré tout, selon l’enquête de CPA, les Canadiens ont confiance en leurs connaissances et leurs compétences en matière de finances personnelles. En effet, 78 % des répondants affirment qu’ils peuvent respecter un budget et 81 %, qu’ils peuvent gérer leurs dettes efficacement. À la fois CPA et le gouvernement fédéral offrent des ressources de littératie financière en ligne : https://www.cpacanada.ca//ressources-en-litteratie-financi et https://www.canada.ca//mois-de-la-litteratie-financiere.ht

Info hypothécaire Québec 12.11.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 9 novembre 2020 L’optimisme actuel concernant le marché canadien de l’habitation semble être en contradiction avec deux récentes enquêtes portant sur les attitudes des Canadiens à l’égard de leur situation financière. Le marché d’octobre s’annonce comme une copie conforme de celui de septembre, selon le réputé économiste Robert Hogue. Des chiffres préliminaires couvrant l’ensemble du pays indiquent un lé...ger refroidissement; les ventes ont augmenté de 23 % à 37 % par rapport à l’année dernière. La demande demeure la plus forte pour des maisons individuelles détachées. Cependant, la plus récente enquête trimestrielle de la firme de conseillers en matière d’insolvabilité MNP suggère que les acheteurs de telles maisons pourraient provenir d’un groupe de plus en plus restreint. De façon générale, selon le plus récent indice des dettes à la consommation de la firme, près de la moitié des Canadiens (47 %) affirment être à 200 $ ou moins de l’insolvabilité. Ce pourcentage inclut les 26 % qui se trouvent déjà dans une situation d’insolvabilité. Ce sont des groupes clés par exemple, les locataires, les femmes et les milléniaux qui sont les plus susceptibles d’affirmer que leur situation d’endettement s’est dégradée. L’emploi est une préoccupation de premier plan. Ce sont les plus jeunes ainsi que les personnes à faible revenu qui ont été les plus durement frappés par les pertes d’emplois découlant des restrictions liées à la COVID-19. Pour plus de 40 % des femmes interrogées, la crainte est que la pandémie leur coûte leur emploi ou l’emploi d’un membre de leur ménage. L’enquête suggère également que près d’un quart des ménages qui gagnent plus de 100 000 $ par année affirment ne pas pouvoir faire face à leurs dettes. De ces ménages, 15 % affirment être déjà en situation d’insolvabilité. Le plus récent rapport sur les difficultés financières de l’agence de surveillance du crédit TransUnion suggère que 48 % des Canadiens ont vu leurs finances mises à mal par la pandémie et que 63 % s’inquiètent de leur capacité à payer leurs factures et leurs dettes actuelles.

Info hypothécaire Québec 08.11.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 2 novembre 2020 Il appert que l’enthousiasme et l’optimisme des Canadiens à l’égard de leur habitation et du marché du logement demeurent très résilients. Selon le troisième rapport intitulé Évolution rapide des attentes dans le marché de l’habitation, produit par Professionnels hypothécaires du Canada, 90 % des propriétaires sont satisfaits de la décision d’acheter leur maison, tandis que seulement 2 % regr...ettent leur décision d’achat. Parmi les personnes qui ne sont pas propriétaires d’une habitation, l’optimisme est nettement à la hausse. La part de ces personnes qui s’attendent à acheter une habitation à court terme a presque triplé, à 20 %, par rapport à 7 % au début de l’année. Il convient de noter que les échantillons d’enquête utilisés pour le rapport sont étroits et concentrés dans deux groupes seulement : les titulaires d’un prêt hypothécaire et les personnes qui ne sont pas propriétaires, mais qui cherchent à acheter une propriété au cours des trois prochaines années. Selon l’actuelle sagesse conventionnelle, les achats sont motivés par les faibles taux d’intérêt et le désir d’habiter des espaces de vie plus spacieux et plus fonctionnels. Ces résultats encourageants surviennent malgré la résurgence des infections par la COVID-19 depuis la fin du mois dernier. L’enquête pour le rapport a été menée du 25 septembre au 8 octobre. (Le 9 octobre, l’Ontario a décrété une nouvelle fermeture partielle de son économie en raison du nombre croissant de nouveaux cas de COVID-19.) Les résultats semblent refléter des perspectives généralement positives par rapport à l’emploi et aux revenus. Même les personnes ayant encaissé une baisse de leurs revenus depuis le début de la pandémie sont optimistes. En effet, 40 % des personnes interrogées dans ce groupe pensent que la situation s’améliorera dans les mois à venir. Parmi les personnes n’ayant pas encaissé une baisse de revenus, 29 % sont optimistes quant aux améliorations à venir. La majorité (58 %) soutient que sa situation demeurera stable. Le quatrième, et dernier, rapport est attendu en décembre.

Info hypothécaire Québec 27.10.2020

https://www.huffingtonpost.ca//inequality-canada-economic-

Info hypothécaire Québec 26.10.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 19 octobre 2020 Un nouveau rapport apporte une nouvelle ronde de données étonnantes sur le marché canadien de l’habitation. L’Association canadienne de l’immobilier (l’ACI) rapporte son meilleur mois de septembre de tous les temps. Les ventes ont augmenté de près de 46 % par rapport à septembre 2019. C’est 20 000 unités de plus que le record précédent établi pour un mois de septembre.... Le prix moyen d’une maison au Canada a également atteint un niveau sans précédent de 604 000 $, ce qui représente une augmentation de 17 % par rapport à l’année précédente. Toronto et Vancouver continuent d’exercer une forte influence sur le prix moyen. Si on exclut ces deux marchés des calculs, la moyenne nationale tombe à 479 000 $, ce qui représente une augmentation de 20 % par rapport à l’année précédente. L’Indice des prix des propriétés global et composé de l’ACI considéré comme une mesure plus fiable des prix des maisons affiche une augmentation de 10 % sur douze mois. L’augmentation semble s’expliquer par le fait que les gens sont à la recherche de logements plus spacieux. La maison est aujourd’hui notre lieu de travail, l’école de nos enfants, un centre de conditionnement physique, un parc et plus encore. L’espace pour soi est plus important que jamais , affirme Shaun Cathcart, économiste en chef de l’ACI. Un certain nombre d’observateurs du marché continuent de prévoir une période de refroidissement au cours des prochains trimestres, mais la diminution de l’offre dans le marché de la revente de maisons maintiendra une pression à la hausse sur les prix. Les nouvelles inscriptions ont chuté de plus de 10 % en septembre. Le ratio ventes/nouvelles inscriptions s’établit maintenant à 77,2 %. C’est son niveau le plus élevé en 20 ans et le troisième niveau mensuel le plus élevé de tous les temps. Il ne fait aucun doute que le marché est favorable aux vendeurs. Toutefois, des taux d’intérêt historiquement bas donnent à nombre d’acheteurs l’impression qu’ils ont les moyens de payer un coût plus élevé. Donc, le désir d’espace et la crainte obsessionnelle de manquer à l’appel (COMA) sont peut-être plus forts que les fondamentaux traditionnels du marché.

Info hypothécaire Québec 17.10.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 26 octobre 2020 La confiance des Canadiens dans l’économie est revenue du côté optimiste du grand livre au troisième trimestre. La plus récente enquête sur les attentes des consommateurs au Canada de la Banque du Canada suggère que les perspectives sont aujourd’hui positives par rapport à celles du deuxième trimestre, mais la prudence est de mise.... Parmi les principales conclusions du rapport du troisième trimestre, on note un retour aux attentes selon lesquelles les prix des logements continueront d’augmenter. Au cours du deuxième trimestre, ces attentes ont chuté à un niveau près de zéro. Aujourd’hui, elles sont revenues à un niveau légèrement inférieur à celui d’avant la pandémie. L’enquête suggère également un changement dans le type de logement préféré par les acheteurs, avec un intérêt accru pour des endroits moins fréquentés et plus éloignés . Autrement dit, de plus grandes maisons situées loin des centres urbains. De nombreux observateurs du marché attribuent cette tendance directement aux confinements imposés en raison de la pandémie et à la montée en flèche du télétravail les ayant accompagnés. Les prévisions d’augmentation des taux d’intérêt demeurent pratiquement inchangées par rapport au deuxième trimestre, mais elles sont en baisse considérable par rapport à l’année dernière. Ceci est, bien sûr, en harmonie avec la politique déclarée de la Banque du Canada, qui consiste à maintenir les taux au plancher jusqu’à ce qu’il y ait une croissance soutenue de l’ensemble de l’économie et de l’inflation. Les perspectives de consommateurs en matière de revenus et de dépenses des ménages se sont légèrement améliorées, mais elles demeurent prudentes. Les Canadiens affirment magasiner moins, mais ils font davantage d’achats en ligne. Par rapport au deuxième trimestre, les gens sont plus nombreux à affirmer qu’ils annulent ou reportent des achats importants. La diminution des dépenses et des activités récréatives et sociales de nombreux consommateurs a permis à ces derniers d’économiser davantage. La plupart de ces consommateurs ont laissé savoir qu’ils comptent conserver ces économies pour pallier d’éventuels imprévus.

Info hypothécaire Québec 01.10.2020

https://moneywise.ca/a/mortgage-rates-may-rise-as-bank-of-c

Info hypothécaire Québec 19.09.2020

https://www.lapresse.ca//2/embouteillage-hypothecaire.php

Info hypothécaire Québec 04.09.2020

https://betterdwelling.com/bank-of-canada-ending-pandemi//

Info hypothécaire Québec 01.09.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 5 octobre 2020 L’incertitude dans laquelle l’économie canadienne est plongée n’a pas refroidi l’optimisme des millénaires et de la jeune cohorte des premiers acheteurs en matière d’accession à la propriété. En fait, l’actuelle perturbation causée par le coronavirus est considérée comme un facteur qui alimente le désir d’accéder à la propriété parmi les 18 à 34 ans.... Une récente enquête menée par l’une des grandes banques suggère que la pandémie et ses restrictions font que près de 20 % des 18 à 34 ans accélèrent leur projet d’achat d’une maison ou d’un immeuble de placement. L’idée est la suivante : les restrictions ayant eu pour effet de confiner les gens à la maison ont fait prendre conscience à ces gens qu’ils avaient besoin d’un espace de vie plus spacieux et plus fonctionnel. Les taux d’intérêt historiquement bas continuent d’avoir une influence démesurée sur l’optimisme en matière d’achats immobiliers. La Banque du Canada a fait clairement savoir que les taux demeureront bas jusqu’à ce que l’économie montre des signes d’une reprise soutenue. Un message similaire de la part de la Réserve fédérale américaine pousse des observateurs du marché à prédire que les taux actuels se maintiendront jusqu’en 2023. L’enquête de la grande banque suggère également que les jeunes acheteurs croient fermement que les prix des maisons finiront par baisser. Parmi les 18 à 34 ans, 36 % s’attendent à des baisses. Dans l’ensemble, 25 % des répondants soutiennent que les prix baisseront. Selon le marché dans lequel ils cherchent à acheter, les attentes de ces répondants ne sont pas sans fondement économique. À la fois Statistique Canada et le Conference Board du Canada prédisent un ralentissement de la croyance économique au cours des prochains trimestres. La résurgence de la COVID-19 a déjà eu pour effet de freiner l’accélération de l’économie dans la foulée des réouvertures à vaste échelle au cours du troisième trimestre.

Info hypothécaire Québec 29.08.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 28 septembre 2020 Après six mois de quarantaines liées à la COVID-19, la Société canadienne d’hypothèques et de logement publie une fois de plus son évaluation trimestrielle du marché de l’habitation. La plus récente évaluation couvre jusqu’à la fin de juin. Par conséquent, la période très occupée de juillet à août n’est pas comprise dans le rapport.... Globalement, l’organisme fédéral de l’habitation qualifie les vulnérabilités auxquelles s’expose le marché canadien de l’habitation de modérées, comme dans son dernier rapport remontant au mois de février. La surévaluation continue de présenter un risque modéré, tandis que les trois autres facteurs la surchauffe, l’accélération des prix et la construction excessive sont classés comme représentant des risques faibles. Aucun marché individuel ne demeure dans la catégorie du risque élevé. La SCHL cite [l]es signes de l’augmentation des déséquilibres dans certains marchés locaux, conjugués à l’affaiblissement général des facteurs fondamentaux sous-jacents comme la raison qui justifie le maintien le niveau de risque à modéré. Aussi, la SCHL maintient sa prévision d’une baisse des prix des maisons de l’ordre de 9 % à 18 % par rapport à leurs niveaux d’avant-pandémie. Quand j’affirme que je maintiens nos prévisions, c’est vraiment par rapport aux grandes tendances auxquelles nous nous attendons allant de l’avant, affirme Bob Dugan, l’économiste en chef de la SCHL. Mon observation du marché de l’habitation me mène à conclure que les risques sont très nombreux. La plus récente évaluation du marché canadien de l’habitation menée par Moody’s Analytics ressemble à celle de la SCHL. Elle prévoit une baisse nationale moyenne des prix de quelque 7 % l’an prochain. Moody’s fait valoir un affaiblissement des fondamentaux du marché, comme une hausse du chômage, une baisse des revenus d’emploi et une diminution de l’abordabilité.

Info hypothécaire Québec 13.08.2020

Dès le 1er octobre, les acheteurs et vendeurs d’immeubles, terrains et autres propriétés devront déclarer leur nationalité au moment de la transaction. Même s’il juge que les investisseurs étrangers ne font pas surchauffer le marché immobilier québécois, le gouvernement entend les avoir à l’œil. https://www.lesoleil.com//immobilier-le-gouvernement-quebe

Info hypothécaire Québec 05.08.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 21 septembre 2020 Le marché canadien de l’habitation tarde toujours à prendre ses vacances d’été. Les chiffres d’août de l’Association canadienne de l’immobilier montrent que les ventes ont augmenté de 33,5 % par rapport à août 2019 et de plus de 6 % par rapport à juillet 2020 un autre mois record. Près de 59 000 propriétés ont changé de mains le mois dernier. Il s’agit donc du mois d’août le plus occupé d...e tous les temps. Les prix ont également augmenté en août. La moyenne nationale a augmenté de 18,5 % sur douze mois pour s’établir à 586 000 $. Comme d’habitude, les marchés de Toronto et de Vancouver ont eu une influence de taille sur ce chiffre. Lorsque ces deux marchés sont exclus des calculs, le prix national moyen chute à 486 000 $ (+18 % sur douze mois). L’indice des prix des propriétés de l’ACI, qui compense des anomalies comme Vancouver et Toronto, fait état d’une hausse sur douze mois de 9,4 %. Le ratio ventes/nouvelles inscriptions s’est légèrement amélioré en août, ayant baissé à 69 % par rapport à plus de 72 % en juillet. C’est une petite bonne nouvelle pour les acheteurs, mais nous demeurerons néanmoins fermement en territoire de marché de vendeurs . Si le boom enregistré pendant l’été a compensé la baisse induite par la COVID plus tôt dans l’année, les observateurs du marché s’attendent à des signes d’un nouveau ralentissement ou pire encore. Les préoccupations continuent de graviter autour de ce qui se passera une fois que les 267 milliards de dollars en reports de prêts hypothécaires et d’autres prêts arriveront à échéance et que les aides gouvernementales pour répondre à la COVID-19, comme la PCU, prendront fin.

Info hypothécaire Québec 28.07.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 14 septembre 2020 Une des principales vulnérabilités de l’économie canadienne s’est un peu atténuée au cours du deuxième trimestre. Statistique Canada rapporte que la proportion de l’endettement des ménages par rapport à leur revenu a chuté à 158,2 %, par rapport à 175,4 % au premier trimestre. Ainsi, pendant le gros des mois de confinement imposé en raison de la COVID-19, les ménages canadiens devaient 1,58... $ pour chaque dollar de revenu disponible (c’est-à-dire après impôt). En temps normal, il s’agirait d’une bonne nouvelle. Cependant, le rapport de Statistique Canada montre également que le montant total réel de la dette n’a pas beaucoup changé. Globalement, la dette contractée sur le marché du crédit totalisait 2,33 billions de dollars à la fin du deuxième trimestre, dont 1,55 billion de dollars en prêts hypothécaires et 779 milliards de dollars en prêts de crédit à la consommation et en prêts non hypothécaires. De l’autre côté du ratio, les revenus ont légèrement augmenté, mais c’est principalement grâce aux mesures d’aide gouvernementales comme la PCU. La Prestation canadienne d’urgence doit prendre fin au début d’octobre. Statistique Canada note que les tendances annuelles montrent que les ménages à faible revenu ont tendance à afficher un niveau d’endettement plus élevé. Dans sa plus récente déclaration, le gouverneur de la Banque du Canada, Tiff Macklem, a mis l’accent sur l’égalisation des inégalités économiques auxquelles ont été et continueront d’être confrontés les travailleurs à faible revenu, les femmes, les jeunes et d’autres personnes pendant la pandémie et la reprise. M. Macklem a pris le soin de rappeler que les récessions inégales, qui affectent certains travailleurs ou secteurs plus que d’autres, ont tendance à être plus longues et à laisser une plus grande empreinte sur le marché du travail. La banque centrale a donc laissé son taux d’intérêt de référence inchangé, à 0,25 %. La Banque a affirmé qu’il en sera ainsi jusqu’à ce que le taux d’inflation se maintienne de façon durable à 2 %. De nombreux analystes s’attendent à ce que cela n’arrive pas avant la fin de 2022 ou le début de 2023.

Info hypothécaire Québec 20.07.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 8 septembre 2020 sept. 8, 2020 Un fort rebondissement du marché de l’habitation a contribué à faire passer la dette des consommateurs canadiens à près de 2 billions (ou 2 000 milliards) de dollars.... L’agence de surveillance du crédit Equifax affirme que l’endettement des consommateurs a augmenté de 2,8 % au deuxième trimestre par rapport à la même période en 2019. Toujours selon Equifax, le ralentissement des remboursements de prêts hypothécaires, les refinancements, les reports, l’amélioration des ventes et les prix élevés ont soutenu les niveaux d’endettement hypothécaire. En même temps, l’endettement non hypothécaire des consommateurs a diminué. Il n’est pas surprenant que les consommateurs aient réduit leur utilisation des cartes de crédit, des marges de crédit et des prêts automobiles pendant le ralentissement économique attribuable à la pandémie du coronavirus. Par ailleurs, sans surprise, l’utilisation de mécanismes de soutien au crédit, comme les reports de paiements hypothécaires, a été largement répandue pendant la pandémie. Selon Equifax, plus de trois millions de consommateurs recourent, ou ont recouru, à une forme quelconque d’accommodement de paiement depuis février. Les consommateurs âgés de 35 à 44 ans ont été ceux qui ont fait la plus grande utilisation de reports, avec un peu plus de 15 % d’entre eux ayant cherché à profiter d’un accommodement de paiement. Cependant, leur niveau d’endettement a baissé de près de 4 %. Chaque situation est unique. Certains consommateurs qui ressentaient un stress financier avant la pandémie affichent un meilleur comportement en matière de crédit depuis mars et pourraient profiter des reports de paiement pour rembourser leurs dettes , explique Rebecca Oakes, d’Equifax. Il reste un groupe qui ressent le stress financier de la pandémie et qui affiche davantage de défauts de paiement ajoute Oakes. Les défaillances retards de paiements de plus de 90 jours ont augmenté, mais demeurent bas en nombre. Les 35-44 ans ont enregistré une hausse de 11 % des cas de défaillance, mais cela a fait passer le taux global à seulement 1,4 %. L’importante cohorte des premiers acheteurs les 26-35 ans a vu son endettement diminuer de 3,3 %. Le taux de défaillance de ce groupe a bondi d’environ 8,4 % et s’établit à 1,7 %. Equifax invoque les reports de paiement et les mesures d’aide du gouvernement, comme la PCU, pour expliquer le maintien des cas de défaillance à un faible niveau.

Info hypothécaire Québec 06.07.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 31 août 2020 L’économie canadienne a subi un revers historique au cours du deuxième trimestre. Le produit intérieur brut s’est comprimé de près de 40 %, sur une base annualisée, en avril, mai et juin. Cette chute n’a pas surpris les analystes. Selon les prévisions, le deuxième trimestre serait le pire pour l’économie pendant le confinement imposé en raison de la pandémie, et les projections annonçaient un dé...clin encore plus marqué. Un examen des chiffres réels (et non l’extrapolation annualisée) adoucit un peu le coup. Au deuxième trimestre, le PIB s’est contracté de 11,5 %. Statistique Canada avait prévu une contraction de 12 % et prévoit maintenant un retour à la croissance au troisième trimestre, et nous en avons vu quelques signes en juin. Par rapport à mai, en juin, le PIB s’est redressé de 6,5 % le plus grand rebond mensuel jamais enregistré. La tendance semble s’être poursuivie en juillet avec un nouveau gain de 3 %. La part du lion des gains réalisés provient du secteur du commerce de détail, les consommateurs retournant dans les magasins et les restaurants à mesure que les restrictions liées à la COVID-19 sont assouplies. Le secteur de l’habitation s’avère également être un contributeur important, le marché ayant connu une reprise de 26 % en juillet par rapport à juin. Bien entendu, il existe des facteurs indépendants de la volonté du Canada qui nuiront à notre économie. Le principal facteur est la situation à venir aux États-Unis. La guerre commerciale avec la Chine et les provocations perturbatrices de l’administration actuelle pourraient rendre la reprise encore plus lente et inégale.

Info hypothécaire Québec 01.07.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 24 août 2020 Le marché immobilier canadien a connu une reprise remarquable en juillet et on s’attend à ce que cette reprise se poursuive pendant encore quelques mois. Au printemps, l’immobilier se dirigeait vers l’un des marchés les plus tendus des 20 dernières années. Puis la pandémie du coronavirus a été déclarée, les gouvernements ont imposé des confinements et l’économie s’est arrêtée, étouffant carrémen...t les ventes de maisons. Le mois d’avril a été marqué par certains des chiffres les plus bas jamais enregistrés, mais le marché a fini par reprendre vie en juillet. Les choses sont peut-être restées calmes pendant quelques mois, mais en fin de compte, le marché que nous observons actuellement est essentiellement le même que celui dans lequel nous nous dirigions en mars , affirme Shaun Cathcart, économiste principal de l’ACI. Les ventes de juillet ont augmenté de plus de 30 % par rapport à l’année précédente et de 26 % par rapport à juin. Le prix moyen d’une maison au Canada a atteint un nouveau record de 571 500 $, ce qui représente une augmentation de plus de 14 % par rapport à juillet 2019. La COVID-19 n’a pas détruit le marché du printemps de cette année, elle l’a simplement repoussé dans le temps , indique l’économiste Robert Hogue, observateur bien connu des marchés. Il fait valoir que le marché fort actif du printemps est en cours cet été, car la demande refoulée a été libérée une fois l’économie rouverte. Nous nous attendons à une nouvelle diminution de la demande refoulée à des ventes qui resteront soutenues en août et peut-être en septembre avant de baisser plus tard cette année , ajoute M. Hogue. L’augmentation des prix s’explique simplement par l’offre et la demande. Le ratio des ventes aux nouvelles cotations de l’ACI s’est resserré à 73,9 % en juillet; il s’agit d’une hausse de plus de 10 points par rapport à juin et un résultat nettement favorable aux vendeurs. Ce ratio est considéré comme équilibré lorsqu’il s’établit à entre 40 % et 60 %. L’économiste Cathcart de l’ACI s’attend à ce que la demande demeure supérieure à l’offre. Certains achats seront sans doute repoussés, mais l’importance nouvelle de la maison, l’absence de déplacements quotidiens pour plusieurs, le désir d’avoir plus d’espace extérieur et personnel ainsi que de la place pour un bureau à domicile figurent entre autres au nombre des facteurs qui stimuleront certainement une activité qui n’aurait pas eu lieu, n’eût été la COVID-19 , dit-il. See more

Info hypothécaire Québec 22.06.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 17 août 2020 On ne peut guère reprocher aux acheteurs, aux courtiers et aux prêteurs d’avoir l’impression que l’État fédéral semble prendre deux directions différentes à la fois sur la question des prêts hypothécaires. L’agence fédérale du logement réclame une chose alors que la Banque du Canada semble ouvrir la voie au contraire. Au début du mois, Evan Siddall, PDG de la Société canadienne d’hypothèques et ...de logement, a envoyé une lettre aux banques, aux prêteurs hypothécaires et aux assureurs hypothécaires privés, leur demandant de resserrer leurs exigences à l’égard des emprunteurs. Il a demandé aux prêteurs de cesser d’offrir des prêts hypothécaires à haut risque aux premiers acheteurs surendettés pour le bien de la santé économique future du Canada et de la SCHL elle-même. Nous nous approchons du niveau minimum de part de marché dont nous avons besoin pour pouvoir protéger le marché hypothécaire en temps de crise , a écrit M. Siddall, ajoutant que la SCHL a besoin du soutien des prêteurs pour éviter que notre présence sur le marché ne s’érode davantage . Alors que la SCHL réclame des normes plus strictes, la Banque du Canada vient d’assouplir ses exigences en matière de simulations de crise pour les prêts hypothécaires pour la troisième fois depuis le début de la pandémie. Le taux de référence a été abaissé de 15 points de base pour atteindre 4,79 %. Cela représente environ 7 500,00 $ de pouvoir d’achat supplémentaire pour un emprunteur à ratio élevé dûment qualifié. Il ne suffit probablement pas de supprimer les barrières à l’entrée, mais cela contribuerait certainement à réduire les coûts de clôture. See more

Info hypothécaire Québec 06.06.2020

https://www.canadianmortgagetrends.com//stress-test-rate-/

Info hypothécaire Québec 17.05.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 4 août 2020 Les Canadiens semblent se sentir plutôt bien par rapport à leurs finances personnelles alors que nous entrons dans le sixième mois de perturbations et de restrictions imposées par le coronavirus. Selon une récente enquête menée par l’Institut Angus Reid, 80 % des Canadiens estiment que leur situation financière est bonne ou excellente . En avril, la proportion s’établissait à 73 %. Cependa...nt, à l’autre extrémité, un groupe considérable d’environ 20 % qualifient leur situation de mauvaise ou terrible . Cette proportion atteint 30 % parmi les répondants qui touchent des prestations d’assurance-emploi ou la Prestation canadienne d’urgence (PCU). Les sondeurs qualifient la situation globale de meilleure, mais fragile . La prudence des consommateurs apparaît clairement à l’analyse de leurs intentions d’achat. Quelle que soit leur opinion sur leur situation financière, 56 % ne voient pas les 12 prochains mois comme un moment propice à un achat important comme une voiture ou une maison. Parmi les personnes à plus faibles revenus (moins de 50 000 $/an), la proportion s’élève à 65 %. L’indice trimestriel des dettes à la consommation, produit par les syndics d’insolvabilité MNP, indique également que la confiance des Canadiens à l’égard de leurs finances augmente. L’indice s’établit aujourd’hui à 96, ce qui est trois points de plus que le trimestre précédent. Il suggère que 61 % des Canadiens sont convaincus qu’ils seront en mesure de couvrir leurs frais de subsistance au cours des 12 prochains mois sans s’endetter davantage. Quarante-trois pour cent qualifient leur situation d’endettement d’excellente. Les Canadiens semblent croire qu’ils ont surmonté le pire de la pandémie et du ralentissement économique. Beaucoup ont également trouvé qu’il était plus facile de dépenser moins au cours des derniers mois puisqu’ils devaient rester confinés à la maison , explique Grant Bazian, président de MNP. See more

Info hypothécaire Québec 14.05.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 27 juillet 2020 Signe que le vent tourne, le taux d’inflation au Canada a augmenté en juin. Statistique Canada estime le taux d’inflation annuel à 0,7 % pour le mois. C’est plus du double du taux de 0,3 % prévu par les économistes, et c’est un renversement important par rapport à la baisse de l’inflation de 0,4 % en mai et de 0,2 % en avril. L’augmentation est en grande partie attribuable à la hausse des pr...ix des voitures, des vêtements, de l’énergie et de la nourriture. Si les hausses de prix incontrôlées sont mauvaises, une inflation modérée et fiable est, quant à elle, une bonne chose. Elle encourage les dépenses et fait circuler l’argent dans l’économie. La déflation surtout si elle persiste est mauvaise, car les consommateurs tendent à arrêter de dépenser, sachant qu’ils pourront faire leurs achats plus tard, pour moins cher. L’argent reste ainsi en dehors de l’économie, ne permettant pas aux entreprises d’embaucher ou d’augmenter les salaires. Une certaine demande refoulée depuis les premiers jours du confinement lié à la pandémie pourrait avoir contribué aux dépenses qui ont ramené l’inflation en territoire positif. Toutefois, les consommateurs canadiens font preuve d’un optimisme croissant à l’égard de leurs finances. La plus récente enquête trimestrielle menée par la firme de consultants en endettement MNP révèle que 61 % des Canadiens sont convaincus qu’ils seront en mesure de couvrir leurs frais de subsistance au cours des 12 prochains mois sans s’endetter davantage. Une augmentation de trois points par rapport au trimestre précédent. En comparaison de la situation avant la pandémie, un nombre nettement plus élevé de Canadiens jugent que leur situation actuelle en matière d’endettement est excellente (43 %, +5). Plus du quart (27 %, +1) des gens perçoivent leur situation d’endettement comme étant meilleure qu’il y a un an et plus du tiers (35 %, +1) pensent qu’elle est meilleure qu’il y a cinq ans. See more

Info hypothécaire Québec 28.04.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 20 juillet 2020 Les ventes de maisons ainsi que les prix de vente ont fortement rebondi en juin. Les plus récentes données de l’Association canadienne de l’immeuble (ACI) indiquent que les achats ont augmenté de plus de 15 % par rapport à l’an dernier. À l’échelle nationale, le prix moyen a progressé de 6,5 %, pour s’établir à 539 000 $ (si on exclut les marchés de Toronto et de Vancouver, le prix moyen tomb...e à 432 000 $). Le suivi au jour le jour suggère que le mois de juillet sera également solide. L’activité sur le marché a atteint un plancher record en mars et en avril, alors que les acheteurs et les vendeurs devaient gérer les diverses restrictions liées à la COVID-19 qui ont été mises en place par tous les niveaux de gouvernement, partout au pays. En juin, toutefois, les acheteurs étaient de retour, apparemment confiants en leur emploi et leurs moyens de subsistance. Les vendeurs n’ont pas été aussi rapides, et le ratio ventes/nouvelles inscriptions a grimpé à près de 64 %, créant ainsi un bon marché pour les vendeurs. Un ratio équilibré se situe entre 40 et 60 %. Sous la barre du 40 %, on considère que le marché est favorable aux acheteurs. Les déclarations de la Banque du Canada affirmant que les taux d’intérêt resteront à des niveaux historiquement bas pendant longtemps aideront probablement à maintenir ce que l’économiste en chef de l’ACI, Shaun Cathcart, décrit comme un optimisme prudent dans le marché. On s’attend à ce que le marché reste solide pendant la traditionnelle saison d’achat . Toutefois, au fur et à mesure que les programmes d’aide gouvernementaux se termineront et que les reports de versements hypothécaires prendront fin, l’optimisme pourrait diminuer et l’attrait des taux d’intérêt très bas pourrait s’estomper. See more

Info hypothécaire Québec 18.04.2020

https://www.canadianmortgagetrends.com//bank-of-canada-hi/

Info hypothécaire Québec 13.04.2020

https://ca.finance.yahoo.com//bank-canada-set-rate-announc

Info hypothécaire Québec 01.04.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 13 juillet 2020 De nombreux indicateurs relatifs à l’économie et à l’habitation se présentent bien. Cependant, sommes-nous en train de monter l’échelle du redressement, ou s’agit-il plutôt de seulement la première remontée d’un manège de montagnes russes? La meilleure nouvelle jusqu’à présent est probablement le bond surprenant de l’emploi enregistré en juin. Plus de 950 000 emplois ont été restaurés le mois... dernier, ce qui est bien mieux que les 700 000 que prévoyaient les économistes. Il y a eu ajout d’emplois dans chaque province et ce sont l’Ontario et le Québec qui ont enregistré les plus importants gains. La vigueur du marché de l’emploi est une bonne nouvelle pour les secteurs de l’habitation et du crédit hypothécaire. Bien qu’il n’y ait aucun lien direct avec les chiffres de l’emploi du mois dernier, les statistiques de juin de certaines des plus principales chambres immobilières du pays montrent que le niveau de confiance demeure élevé. Sur une base annuelle : La région du Grand Toronto affiche une augmentation de 1,4 % des ventes et une hausse de 12 % du prix moyen; Les ventes dans le Grand Vancouver ont augmenté de près de 18 % et les prix, de 3,5 %; Dans le Grand Montréal, les ventes ont augmenté de 16 % et les prix, de 6,0 %; À Ottawa, les ventes ont baissé légèrement (01,4 %), mais le prix moyen a bondi de 17 %; Calgary, qui a été durement touchée par la faiblesse des prix du pétrole ainsi que par le confinement imposé en raison de la COVID-19, a connu une modeste baisse de 2,0 % des ventes et une légère chute de 0,2 % des prix. Les chiffres sont bons, surtout dans ces circonstances. Cependant, à mesure que les programmes d’aide gouvernementaux prennent fin, tout comme les arrangements de report de remboursement de prêts hypothécaires, l’incertitude deviendra un facteur qui pèsera beaucoup plus dans la balance. C’est le principal facteur dont tient compte la Société canadienne d’hypothèques et de logement dans ses prévisions. Cette dernière avertit d’une baisse des prix de l’ordre de 9 % à 18 % au cours de l’année à venir. See more

Info hypothécaire Québec 16.03.2020

Sans surprise, l’économie canadienne a été fortement touchée au cours des derniers mois en raison de la pandémie du coronavirus. Statistique Canada rapporte que la production a diminué de près de 20 % en mars et avril, dans les semaines qui ont immédiatement suivi la décision des gouvernements du pays d’imposer le confinement pour freiner la propagation de la COVID-19. Des baisses ont été enregistrées dans l’ensemble des 20 catégories que suit Statistique Canada. Cependant, ...sur le plan positif , la contraction n’a pas été aussi marquée que ce qu’on craignait et une légère reprise est en fait prévue pour le mois de mai. Les premières projections montrent une modeste augmentation de 3,0 % de l’activité économique. Ce n'est pas beaucoup, mais ce serait néanmoins le plus important gain sur un mois jamais enregistré et cela pourrait signaler qu’avril aura marqué le point bas de la crise. De plus, le mois de mai a également vu l’ajout de 290 000 emplois, contredisant les prévisions qui avaient annoncé 500 000 pertes d’emplois supplémentaires. Le crédit hypothécaire a continué de se développer pendant la crise de la COVID. Selon les chiffres de la Banque du Canada, le solde restant dû s’élevait à 1,68 billion de dollars en mai. Cela représente une hausse de 0,6 % par rapport à avril et de 6,0 % par rapport à il y a un an. Néanmoins, les perspectives sont généralement positives pour le mois de juin, avec des prévisions de croissance à la fois du PIB et de l’emploi, car davantage d’entreprises rouvrent leurs portes et de plus en plus de personnes sont en mesure de retrouver un emploi. See more

Info hypothécaire Québec 26.02.2020

La Société canadienne d’hypothèques et de logement maintient ses perspectives baissières en ce qui concerne les prix des maisons. Fin mai, la SCHL déclarait qu’elle ne s’attendait pas à voir les prix (ou les ventes ou encore les mises en chantier) revenir aux niveaux d’avant la pandémie avant la fin de 2022. Son dernier rapport fait écho à ce point de vue. Les plus récentes Perspectives du marché de l’habitation de la SCHL portent sur six grands centres urbains : Vancouver, C...algary, Edmonton, Toronto, Ottawa et Montréal. Les prix moyens dans ces villes vont d’un minimum de 359 000 $ à Edmonton à un maximum de 962 000 $ à Vancouver. Selon le meilleur scénario de l’organisme, la hausse des prix serait de 2 % à Toronto, Ottawa et Montréal d’ici la fin du quatrième trimestre de 2022. Vancouver, Calgary et Edmonton subiront des baisses de 7 %, de 8 % et de 9 % respectivement. Dans le pire des cas, les villes dans l’est du pays subiraient des baisses allant jusqu’à 14 %, tandis que les centres urbains dans l’Ouest canadien pourraient enregistrer des baisses allant jusqu’à 24 %. Aussi, Calgary et Edmonton doivent aussi lutter contre les effets du déclin de l’industrie énergétique. L’organisme avertit cependant que les prévisions sont très incertaines et varieront considérablement . Il existe des préoccupations légitimes quant à des conséquences imprévues ou involontaires. Les programmes de report de paiements hypothécaires, qui se sont avérés très populaires, commenceront à prendre fin plus tard dans l’année. Si les taux d’emploi ne rebondissent pas d’ici là, de nombreux propriétaires endettés pourraient se retrouver sans travail et incapables de rembourser leur hypothèque, ce qui entraînerait une surabondance de ventes forcées et une chute des prix. Les agents immobiliers adoptent un point de vue plus optimiste. Royal LePage prévoit une augmentation des prix de 1 %, avec un scénario pessimiste d’une baisse de 3 % à l’échelle nationale, d’ici la fin de l'année.

Info hypothécaire Québec 15.02.2020

https://rates.ca//should-you-break-your-mortgage-get-reco/

Info hypothécaire Québec 13.02.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 22 juin 2020 j Les choses s’améliorent un peu à mesure que les Canadiens traversent la pandémie de COVID-19. La plus récente mesure de la confiance fournie par Bloomberg et Nanos Research suggère que les consommateurs canadiens se sentent plus positifs par rapport à l’économie, à la reprise et aux prix des maisons. L’indice de confiance a connu un rebondissement soutenu, grimpant pendant sept semaines consé...cutives, après avoir atteint un creux record en avril. Dans le plus récent coup de sonde, il s’élève à 42,86, ce qui représente une hausse de près de 3 points par rapport au précédent coup de sonde. (La moyenne annuelle était de 57 avant la pandémie.) L’enquête suggère que les Canadiens ont de plus en plus le sentiment que le pire du ralentissement induit par la pandémie est passé, mais les pessimistes sont toujours plus nombreux que les optimistes, à raison de plus de trois pour un. Environ 20 % des personnes sondées estiment que l’économie sera plus forte dans six mois, tandis que 62 % pensent qu’elle sera plus faible. C’est un changement considérable par rapport aux 80 % qui prévoyaient une aggravation de la situation et aux 7 % qui prédisaient une amélioration, il y a quelques semaines à peine. Au total, 42 % des personnes interrogées soutiennent que les prix des logements vont baisser au cours des six prochains mois. C’est en baisse par rapport aux 49 % d’il y a quatre semaines. Il y a d’autres signes positifs. Les Canadiens ne semblent pas s’endetter davantage pendant le confinement. Le service de surveillance du crédit Equifax rapporte que le niveau d’endettement des consommateurs était inférieur de près de 0,5 % à la fin du mois de mars, par rapport à l’année précédente. Cela indiquerait que les programmes de soutien du gouvernement fonctionnent. Les chiffres fédéraux montrent que le nombre de faillites personnelles a atteint un creux record en avril. Les chiffres suggèrent également que les plus jeunes et les plus âgés ceux qui sont souvent considérés comme ayant la plus faible capacité de remboursement empruntent moins. See more

Info hypothécaire Québec 30.01.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 15 juin 2020 Les nouvelles règles d’assurance mises en place par la Société canadienne d’hypothèques et de logement font que les prêteurs, les emprunteurs et les courtiers se demandent encore ce qui va se passer. Les avis sont partagés et la modification de l’exigence en matière de pointage de crédit, ou la cote de crédit Beacon, suscite beaucoup d’attention. La SCHL a augmenté son pointage de crédit minima...l à atteindre de 600 à 680. Cette décision place la barre fixée par la SCHL au-dessus de celles des deux assureurs hypothécaires privés du pays. Et il y a quelques critiques qui circulent. Plusieurs observateurs du marché s’interrogent sur l’intérêt d’un durcissement des restrictions, alors que le marché est déjà en crise. D’autres soulignent que les nouvelles règles plus contraignantes de la SCHL suivent de très près les exigences resserrées du gouvernement fédéral en matière de simulation de crise hypothécaire. Pour certains, ces changements semblent contre-productifs étant donné les milliards de dollars dépensés par le gouvernement fédéral pour soutenir l’économie depuis la début de la pandémie de COVID-19. Si les prix de l’immobilier diminuent, d’un point de vue de politique publique, c’est précisément le moment de renforcer le soutien aux premiers acheteurs. Rendre les logements plus difficiles à financer permettra, une fois de plus, de réserver les propriétés à l’achat par des personnes ayant déjà les moyens de les acheter , a affirmé Paul Taylor, le PDG de Professionnels hypothécaires du Canada. Ce commentaire, selon lequel les propriétés sont réservées aux personnes ayant déjà les moyens , a été repris par d’autres professionnels du crédit et des prêts hypothécaires qui considèrent les cotes de crédit Beacon comme imparfaits et imparfaits . Ils affirment que les Canadiens ayant peu d’antécédents de crédit, comme les milléniaux et les nouveaux immigrants, deux groupes importants sur le plan économique, seront indûment désavantagés par les changements. Les nouveaux Canadiens, en particulier, peuvent être affectés par l’anomalie dans le processus de pointage de crédit qui voit leur pointage baisser simplement parce qu’il est vérifié. Ceux qui tentent de s’établir dans un nouveau pays sont inévitablement soumis à davantage de contrôles. L’impact négatif sur leur pointage n’a rien à voir avec leur solvabilité.

Info hypothécaire Québec 27.01.2020

https://globalnews.ca///covid-19-reverse-mortgages-canada/

Info hypothécaire Québec 09.01.2020

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 8 juin 2020 Tout en prévoyant un effondrement des prix de l’immobilier pouvant atteindre 19 % au cours des 12 prochains mois, la Société canadienne d’hypothèques et de logement resserre ses règles d’assurance hypothécaire. À compter du 1er juillet, les demandeurs devront montrer une meilleure cote de crédit , un taux d’endettement moins élevé et plus d’argent sonnant dès le départ. Cela pourrait être considé...ré comme un effort pour étouffer toute croissance de la demande déclenchée par une meilleure abordabilité. La SCHL fait passer sa cote de crédit de 600 à 680. Afin de réduire la pratique consistant à emprunter de l’argent pour la mise de fonds, l’organisme ne traitera plus les prêts personnels non garantis et les lignes de crédit non garanties comme des sources de capitaux propres aux fins de l’assurance hypothécaire. Le ratio maximal du service de la dette brute (SDB) est ramené de 39 % à 35 %, tandis que le ratio maximal du service de la dette totale (SDT) passe de 44 % à 42 %. La réduction des niveaux de service de la dette est considérée comme la mesure ayant l’impact le plus important sur les acheteurs de maisons. Selon certains calculs, un ménage ayant un revenu de 100 000 $ et une mise de fonds de 10 % pourrait perdre jusqu’à 12 % en pouvoir d’achat. Le chef de la SCHL, Evan Siddall, n’a jamais caché ses inquiétudes relatives à la demande excessive [en logements] et la croissance insoutenable des prix des logements . La COVID-19 a exposé des vulnérabilités de longue date sur nos marchés financiers, et nous devons agir maintenant pour protéger l’avenir économique des Canadiens , a déclaré Siddall dans un communiqué de presse. Ces mesures protégeront les acheteurs de logements, réduiront les risques pour le gouvernement et les contribuables et favoriseront la stabilité des marchés de l’habitation , a-t-il ajouté. De nombreux observateurs du marché jugent ces mesures excessives et estiment que les prévisions de la SCHL sont indûment pessimistes. Ils craignent que les nouvelles règles ébranlent la confiance des acheteurs et des vendeurs, meurtrissent la psychologie du marché et nuisent aux perspectives à court terme du marché de l’habitation. La SCHL a décidé de laisser le montant minimal de la mise de fonds à 5 %, ce qui devrait maintenir le bassin d’acheteurs potentiels à peu près au même niveau.

Info hypothécaire Québec 22.12.2019

À partir du 1er juillet 2020 **important** Restriction pour la qualification https://www.cmhc-schl.gc.ca//cmhc-reviews-underwriting-cri

Info hypothécaire Québec 18.12.2019

Décision du jour concernant les taux (Variable) À 10 h (HAE), la Banque du Canada a rendu publique sa sixième décision concernant les taux d’intérêt de l’année, marquant du coup le début de l’ère Tiff Maklem. La nomination de M. Macklem comme dixième gouverneur depuis la création de la Banque en 1935 a pris effet aujourd’hui. La décision elle-même de maintenir le statu quo ne surprend aucunement, car la Banque a réitéré à plusieurs reprises qu’elle n’avait aucune intentio...n de baisser le taux plus bas que son niveau actuel de 0,25 %. Cependant, la Banque avait quelques nouvelles à communiquer concernant l’impact de la pandémie de COVID-19 sur l’économie mondiale. Dans son communiqué, on peut y lire que la pandémie semble avoir atteint un sommet en raison des mesures de politique massives des gouvernements et que [l]es conditions financières se sont améliorées. C’est le premier signe de bonnes nouvelles depuis que la pandémie a été déclarée en mars et cela devrait contribuer à donner confiance aux Canadiens qui envisagent d’acheter des biens immobiliers cet été.

Info hypothécaire Québec 04.12.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 1 juin 2020 Les grands prêteurs hypothécaires nationaux du Canada se dirigent vers un gouffre du report des dettes . C’est ce que prédit celui qui dirige la Société canadienne d’hypothèques et de logement, Evan Siddall. Le récent témoignage livré par M. Siddall à la commission parlementaire des finances du Canada a semblé assez sombre dans l’ensemble, du moins pour l’horizon de deux ans qu’examine l’organ...isme fédéral d’habitation. M. Siddall s’attend à ce que le gouffre du report des dettes commence à se creuser en septembre, lorsque les reports de paiements des prêts commenceront à expirer et que les personnes qui restent au chômage ou sous-employées en raison du confinement imposé par la COVID-19 devront recommencer à payer leur hypothèque. Environ un ménage sur huit ayant un prêt hypothécaire a demandé un report de paiements et la SCHL affirme que cette proportion pourrait atteindre un sur cinq d’ici à ce que les programmes commencent à prendre fin à l’automne. Bien sûr, tous les cas de report ne se solderont pas par des cas de défaut de paiement, mais les grands prêteurs prennent des mesures pour éviter de passer par-dessus bord. Les cinq grandes banques placent beaucoup plus d’argent dans des prévisions pour pertes sur prêts. Au cours du deuxième trimestre (qui vient de prendre fin), elles ont injecté un total de 11 milliards de dollars dans la couverture de prêts qui ne sont actuellement pas remboursés. C’est presque cinq fois plus qu’il y a un an. Mais les cinq grandes banques ont néanmoins toutes continué de faire de l’argent au deuxième trimestre. Elles ont toutes encaissé un solide coup, mais ont néanmoins réussi à dégager un bénéfice collectif de 5 milliards de dollars. Ce fut assez positif pour que les négociants en valeurs mobilières fassent monter le cours des actions des cinq banques à la suite de leurs rapports de deuxième trimestre.

Info hypothécaire Québec 28.11.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 25 mai 2020 Alors que l’économie canadienne entame son lent retour vers la normalité, ou vers ce que sera la nouvelle normalité, le gouverneur de la Banque du Canada, Stephen Poloz, dénonce les prophètes de malheur. À environ une semaine de son départ le 2 juin prochain, M. Poloz estime que l’économie est sur la bonne voie pour enregistrer une saine reprise de la pandémie de COVID-19, et ce, à partir du deux...ième trimestre de cette année. La situation actuelle suggère que nous nous dirigeons vers notre scénario le meilleur... et non le pire , a déclaré M. Poloz aux journalistes lors d’une table ronde par visioconférence la semaine dernière. À mon avis, le [pessimisme] que j’entends est un peu exagéré. Nettement exagéré même , a-t-il dit. Selon Poloz, trop de prévisionnistes se concentrent sur l’effondrement du PIB du pays. Mais il souligne que l’ adaptation comportementale sous-jacente des gens, la spirale descendante de la confiance normalement associée à la récession et à la dépression, ne se produit pas. La théorie du gouverneur semble être née, au moins modestement, de la dernière lecture de la confiance des consommateurs par le Conference Board du Canada. Les chiffres pour mai montrent une augmentation de 16 points de la confiance par rapport à un plancher sans précédent de 47,5 enregistré en avril. L’indice s’établit aujourd’hui à 63,7 points. Cela demeure 60 points en dessous de la lecture pré-confinement en février. Mais les chiffres s’améliorent aussi à mesure que les Canadiens se tournent vers l’avenir. Le pessimisme à l’égard des finances futures a diminué et les inquiétudes quant à l’emploi futur se sont également atténuées.

Info hypothécaire Québec 20.11.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 19 mai 2020 Les plus récentes statistiques de l’Association canadienne de l’immobilier (l’ACI) sont sombres, mais elles ne devraient pas être surprenantes. Les ventes d’avril ont atteint leur niveau le plus bas depuis 36 ans, soit une baisse de près de 57 % par rapport au mois précédent et de près de 58 % sur un an. Tout comme en mars, cependant, les prix moyens sont restés stables. Par rapport à l’année der...nière, la moyenne nationale a baissé de 1,3 % pour atteindre un peu plus de 488 000 $. Si on exclut Toronto et Vancouver du calcul, la moyenne nationale baisse de près de 100 000 $. L’ACI souligne que son Indice composite des prix des propriétés affiche une hausse de près de 6,5 % sur douze mois. Allant de l’avant, l’ACI n’offre aucune prévision quant aux ventes ou aux prix. Alors que la pandémie de COVID-19 continue de sévir dans le marché de l’habitation, la Banque du Canada réitère ses préoccupations concernant l’endettement élevé des ménages. La Banque constate que le nombre de ménages vulnérables ceux qui consacrent plus de 40 % de leurs revenus au paiement de leurs dettes augmente et que ces ménages prennent du retard dans le remboursement de leurs prêts. Selon des calculs de la Banque du Canada, jusqu’à un ménage propriétaire sur cinq ne dispose pas d’un coussin suffisant pour couvrir deux mois de dépenses. Un tiers n’a pas assez d’argent pour couvrir quatre mois de dépenses. Quelque 700 000 ménages ont bénéficié d’un report de paiements jusqu’à présent. Selon les projections de la banque centrale, le taux d’arriérés hypothécaires augmentera d’environ 0,8 %, atteignant un pic l’année prochaine lorsque les plans de report de paiements proposés par les prêteurs commenceront à expirer. C’est actuellement le pire scénario envisagé par la Banque. Le taux actuel des arriérés hypothécaires n’est que de 0,2 %.

Info hypothécaire Québec 04.11.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 11 mai 2020 Les perspectives à plus long terme concernant le marché de l’habitation sont mitigées, selon le choix d’indicateurs pris en considération. Les projections les plus pessimistes sont celles de la Société canadienne d’hypothèques et de logement. L’organisme prévoit qu’il faudra attendre la fin de l’année 2022 au moins soit près de trois ans pour que les prix des logements retrouvent leur niveau ...d’avant la récession. Le président et premier dirigeant de la SCHL, Evan Siddall, souligne également que la pandémie de coronavirus fait que les propriétaires ont du mal à effectuer leurs paiements. Des dizaines de milliers de Canadiens éprouvent des difficultés à respecter leurs engagements hypothécaires , a-t-il dit. La SCHL estime que 10 % des propriétaires de maisons ont opté pour le report de leurs paiements hypothécaires jusqu’à maintenant. Selon l’organisme, l’éclosion de COVID-19 rend difficile toute prévision fiable à long terme. La SCHL indique que des variables autrefois connues comme l’emploi, les revenus et l’immigration sont devenues inconnues. En janvier, l’organisme a effectué une simulation de crise basée sur une pandémie. Cependant, le coronavirus s’est avéré bien pire que le scénario utilisé. La SCHL recalcule donc ses prévisions à l’heure actuelle. Les prêteurs et les courtiers immobiliers ont des perspectives plus positives. Si les ventes ont chuté, les prix moyens sont restés stables sur une base annualisée. Un déficit de nouvelles inscriptions est proposé comme raison principale. Selon une analyse effectuée par une des grandes banques, le prix de référence d’une maison a en fait augmenté d’environ 10 %. Cette banque y voit une indication que les habitudes d’achat se sont déplacées vers des maisons meilleur marché. Le même rapport suggère que la plupart des marchés restent équilibrés pour les acheteurs et les vendeurs, et ce, malgré la pandémie.

Info hypothécaire Québec 22.10.2019

https://ca.finance.yahoo.com//april-jobs-numbers-2020-1238

Info hypothécaire Québec 07.10.2019

https://www.tvanouvelles.ca//choisir-un-taux-hypothecaire-

Info hypothécaire Québec 19.09.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 4 mai 2020 La Banque du Canada a un nouveau gouverneur. Et on pourrait dire que tout ce qui est ancien redevient nouveau. L’actuel gouverneur, Stephen Poloz, quittera son poste comme prévu au début du mois de juin. Il sera remplacé par Tiff Macklem, un habitué de la banque centrale.... M. Macklem est l’actuel doyen de l’École de gestion Rotman de l’Université de Toronto, mais il a une longue feuille de route à la Banque du Canada et a occupé le poste de premier sous-gouverneur sous Mark Carney. Il a également été adjoint au ministre des Finances Jim Flaherty et a aidé le Canada à traverser l’effondrement financier mondial et la grande récession ayant suivi. L’expérience acquise par M. Macklem durant cette crise semble avoir été un facteur clé dans la décision de sa nomination, maintenant que le Canada fait face aux impacts économiques de la pandémie du coronavirus. M. Macklem et la Banque du Canada sont dans une situation difficile. Ils n’ont plus de marge de manœuvre pour baisser les taux d’intérêt et dépensent des milliards de dollars chaque semaine sur l’achat d’obligations gouvernementales. M. Macklem a déjà exprimé sa réticence à faire plonger les taux d’intérêt en terrain négatif, qualifiant un tel scénario de nouvelle source de perturbation pour un système financier déjà perturbé. Vu la feuille de route de M. Macklem, nous pouvons nous attendre à un gouverneur plus conservateur du genre de Mark Carney. (Stephen Poloz s’est avéré beaucoup plus proactif que nombre de ses prédécesseurs.) À l’instar de la dernière crise, la Banque pourrait contribuer à calmer les marchés et les investisseurs en leur fournissant des indications plus prospectives. Et il est peu probable que M. Macklem veuille modifier la cible d’inflation de 2 % fixée par la Banque, car il avait contribué à l’établissement de cette cible en 1991.

Info hypothécaire Québec 03.09.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 27 avril 2020 Les plus récents chiffres du Conference Board du Canada sur la confiance des consommateurs sont une autre tache terne dans une perspective déjà sombre. L’enquête menée en avril par le groupe de réflexion en matière de politiques suggère que les perspectives d’avenir des Canadiens endettés sont à un niveau historiquement bas et que la chute s’est produite à un rythme record (-73 points en deux m...ois seulement). À titre comparatif, l’effondrement financier de 2008 a également connu une baisse de 73 points, mais elle s’était étalée sur une période de 13 mois. Selon l’enquête du Conference Board, 36,1 % des répondants s’attendent à voir leur situation financière se détériorer au cours des six prochains mois. C’est 14 points de pourcentage de plus que le record précédent de 22,1 %. L’enquête suggère également qu’une majorité de Canadiens ont une vision sombre de l’emploi, 53 % des personnes interrogées ayant indiqué qu’elles s’attendent à ce que leurs perspectives d’emploi se détériorent au cours des six prochains mois. Ce pessimisme affecte les plans de dépenses, du moins à court terme. Plus des trois quarts des personnes interrogées, soit 76,5 %, déclarent que le moment est mal choisi pour effectuer un achat important comme un véhicule ou une maison. C'est plus de 20 points de pourcentage de plus que le précédent record, établi en février 2016. Les lectures du Conference Board semblent être confirmées par les chiffres du gouvernement qui montrent une forte baisse de l’inflation, un pic du chômage et un bond des faillites. À l’échelle nationale, les faillites et les propositions de particuliers et d’entreprises ont augmenté de 9 % en février, par rapport à l’année précédente avant même que la pandémie de la maladie à coronavirus ne s’installe réellement. (Le nombre de consommateurs ayant déposé leur bilan est en tête, affichant une augmentation de 9,2 %. Du côté des entreprises, elles ont été 1,9 % plus nombreuses à déposer leur bilan.)

Info hypothécaire Québec 22.08.2019

https://www.lerevenu.com//immobilier-les-taux-devraient-re

Info hypothécaire Québec 02.08.2019

https://ca.finance.yahoo.com//refinancing-your-mortgage-du

Info hypothécaire Québec 15.07.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 20 avril 2020 Les chiffres nationaux concernant les ventes de maisons pour le mois de mars ont été fournis par l’Association canadienne de l’immobilier (ACI). Comme prévu, ces chiffres montrent que le début prometteur de la saison d’achat du printemps a pris fin abruptement cette année. Plus tôt, l’ACI avait publié les chiffres de ventes de Toronto et de Vancouver, les marchés les plus importants et les plus... actifs du pays. Ces chiffres montraient que les deux métropoles étaient en perte de vitesse dans la seconde moitié du mois. À l’échelle nationale, le marché a suivi le mouvement. Voici un aperçu des principaux marchés du pays : Grand Toronto : -28 % Montréal : -13,3 % Grand Vancouver : -2,9 % Calgary : -26,3 % Edmonton : -13,2 % Winnipeg : -7,3 % Hamilton-Burlington : -24,9 % Ottawa : -7,95 % Les premiers chiffres de l’ACI pour le mois d’avril suggèrent que la situation demeure à peu près inchangée. Les prix, cependant, n’ont pas bougé. En général, les observateurs du marché estiment que les prix se maintiennent en raison d’une baisse importante du nombre de nouvelles inscriptions. Ils ont baissé de 12,5 % en mars par rapport à février. L’Indice des prix des propriétés MLS a augmenté de 0,8 % en un mois et est en hausse de près de 7,0 % par rapport à l’année précédente. Il s’agit de statistiques préliminaires, et les résultats finaux d’avril donneront probablement une meilleure indication de ce qui nous attend. Les analystes surveilleront aussi les données concernant les nombres de faillites et de cas de défaillances. L’augmentation des niveaux de chômage et de perte de revenus, attribuable aux mesures de lutte contre la COVID-19, pourrait pousser les ménages endettés à bout et les contraindre à mettre leur maison en vente. Toute poussée de ce type d’activité pourrait bien entraîner une baisse de prix.

Info hypothécaire Québec 28.06.2019

https://ca.finance.yahoo.com//bank-of-canada-meeting-april

Info hypothécaire Québec 19.06.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 14 avril 2020 Nous avons reçu beaucoup de données économiques inquiétantes ces derniers temps. À la fin du mois de février, le taux de chômage s’élevait à 5,6 % et près de 250 000 emplois avaient été créés au cours des 12 mois précédents. À la fin de mars, près d’un million d’emplois avaient été rayés de la carte. La Conference Board du Canada projette que ce total pourrait atteindre 2,8 millions d’ici la fi...n d’avril. La meilleure estimation actuelle est que le taux de chômage atteint environ 20 %. À l’échelle nationale, les mises en chantier ont baissé de 7,3 % entre février et mars. La valeur des permis de construire un indicateur prospectif s’est effondrée en mars, chutant de 23 %. Aussi affligeants que soient les chiffres, la véritable source d’anxiété reste l’inconnu. Cependant, plusieurs des économistes les mieux connus du pays font preuve de courage. Ils soulignent la nature temporaire des pertes d’emplois. Selon Statistique Canada, la plupart des travailleurs s’attendent à être de retour au travail d’ici environ six mois, une fois que la pandémie du coronavirus devrait avoir été maîtrisée. Nous avons également appris que les chiffres de l’emploi d’un mois à l’autre peuvent être volatils et doivent être surveillés dans le temps pour établir des tendances. La baisse des mises en chantier peut être attribuée, au moins en partie, aux interdictions de nouvelles constructions. Un certain nombre de territoires limitent les activités des entrepreneurs à l’achèvement des projets en cours seulement. De plus, la baisse des permis de construire est inégale dans tout le pays. La Colombie-Britannique est en baisse de près de 27 % et l’Ontario, de 50,5 %. À l’opposé, l’Alberta et Halifax enregistrent des gains de près de 12 % et de 153 % respectivement.

Info hypothécaire Québec 02.06.2019

Le taux préférentiel a suivi la baisse du taux de la Banque du Canada, passant de 3,95 % en janvier 2020 à 2,45 % aujourd’hui. Cependant, les taux hypothécaires fixes, qui avaient brièvement baissé à 2,34 %, sont remontés à 2,84 % aujourd’hui, les laissant effectivement inchangés malgré le fait que les rendements sous-jacents des obligations du gouvernement du Canada sont inférieurs de 100 points de base. Il existe une croyance commune selon laquelle les taux des prêts hypot...hécaires fixes de 5 ans sont inextricablement liés aux rendements des obligations du gouvernement du Canada à 5 ans et que les réductions du taux à un jour de la Banque du Canada se traduisent toujours par des réductions des coupons hypothécaires fixes de 5 ans. Bien que le rendement des obligations du Canada à 5 ans serve de base à la fixation d’autres taux, y compris ceux des prêts hypothécaires de 5 ans, la réalité est qu’il n’existe aucune corrélation directe entre les deux. See more

Info hypothécaire Québec 13.05.2019

https://www.conseiller.ca//une-explosion-de-linsolvabili/

Info hypothécaire Québec 06.05.2019

La Banque du Canada baisse les taux à nouveau et lance deux programmes de soutien du marché des titres d’emprunt mars 27, 2020 Ce matin, la Banque du Canada a baissé son taux cible pour le financement à un jour de 50 points de base, à pour cent. Cette baisse fait suite à une réduction de 50 points de base qui est entrée en vigueur le 16 mars 2020 et à une réduction de 50 points de base le 4 mars 2020. Et elle porte le taux directeur à son niveau le plus bas depuis la crise ...Continue reading

Info hypothécaire Québec 24.04.2019

https://www.ctvnews.ca//bank-of-canada-cuts-key-interest-r

Info hypothécaire Québec 06.04.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 23 mars 2020 Les mois à venir en pleine pandémie de coronavirus s’annoncent difficiles. Pour les personnes endettées, et en particulier celles qui ont une dette hypothécaire, l’argent pourrait devenir rare. Les Canadiens demeurent lourdement endettés; ils doivent en moyenne 1,76 $ pour chaque dollar de revenu disponible. Et maintenant, ils perdent leur source de revenus à un rythme sans précédent. La sem...aine dernière, 500 000 nouvelles demandes d’assurance-emploi ont été déposées en seulement quatre jours. Cela correspond à 2,5 % de la population active. Des centaines de milliers d’autres suivront à mesure que des industries partout au pays annoncent de plus en plus de réductions et d’arrêts. Les emprunteurs ont toutes les raisons d’être inquiets, mais ils doivent éviter de sombrer dans la peur. Des mesures sont prises pour les protéger, ainsi que leurs entreprises, leurs employeurs et l’économie dans son ensemble. Ottawa a mis en place un plan d’aide de 82 milliards de dollars et la Banque du Canada a réduit son taux directeur. Aussi, la banque centrale achète pour 50 milliards de dollars de prêts hypothécaires assurés afin de pouvoir offrir plus d’options aux prêteurs. Nous vivons une période incertaine et, par conséquent, troublante. Le principal problème, au-delà de l’épidémie de COVID-19 elle-même, est la peur de l’inconnu. Les détenteurs de prêts hypothécaires sont anxieux, mais ils doivent savoir qu’il existe de nombreuses options qui s’offrent à eux et que les prêteurs sont prêts à travailler avec eux.

Info hypothécaire Québec 23.03.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 17 mars 2020 Le Coronavirus et les préoccupations économiques plus générales dans le monde entier ont poussé la Banque du Canada à réduire son taux d’intérêt de référence de deux fois 50 points de base au cours des deux dernières semaines. Le taux s’établit maintenant à 0,75 %. Et d’autres baisses sont très probables. La baisse de taux décrétée d’urgence dimanche passé, qui a fait chuter le taux de la Réserv...Continue reading

Info hypothécaire Québec 14.03.2019

Le marché obligataire à rebondi. Il ira surement un ré-haussement de taux 5 ans fixe.

Info hypothécaire Québec 03.03.2019

https://www.lapresse.ca//01-5264522-le-taux-directeur-au-c

Info hypothécaire Québec 24.02.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 9 mars 2020 mars 9, 2020 La saison annuelle d’achat de maisons au printemps semble déjà bien en cours. Les marchés les plus importants et les plus actifs du Canada font état d’importantes augmentations des ventes et des prix selon l’activité enregistrée avant même l’assouplissement annoncé de la simulation de crise prévue à la ligne directrice B-20 et la baisse du taux de la Banque du Canada inspirée par le ...coronavirus. Les chiffres de février pour ce qui est du Grand Vancouver montrent une augmentation de 45 % des ventes par rapport à l’année précédente. Toronto rapporte une hausse de 46 %. Calgary, qui connaît des difficultés en raison de la dépression du secteur de l’énergie, a néanmoins connu une augmentation de 23 %. Montréal poursuit son essor, avec un nombre record de 5 334 ventes en février, soit 23 % de plus que l’année précédente. Bien entendu, les chiffres de février dernier étaient extraordinairement bas, ce qui atténue en partie la valeur choc des augmentations. Cependant, les prix connaissent une nouvelle accélération. À Vancouver, l’indice des prix des propriétés MLS s’établit à 1,02 million de dollars. C'est à peine 0,3 % de plus qu’il y a un an, mais c’est une augmentation de 2,7 % au cours des six derniers mois. À Toronto, l’indice des prix des propriétés a augmenté de 10,2 %. Le prix de vente moyen de tous les types de logements s’est élevé à 910 000 $. (Le prix moyen d’une maison individuelle a, une fois de plus, dépassé le cap du million de dollars.) À Montréal, le prix médian a augmenté d’environ 12 %, tandis qu’il demeure essentiellement stable à Calgary. Des marchés partout au pays se resserrent alors que les ventes dépassent les nouvelles inscriptions, signalant la forte probabilité d’une accélération des prix encore plus importante. Étant donné les mesures récentes de la Banque du Canada, les intentions annoncées par le gouvernement fédéral et de l’effondrement du marché obligataire, il semble peu probable qu’il y ait une quelconque volonté d’appliquer les freins.

Info hypothécaire Québec 19.02.2019

Une autre baisse des obligations 5 ans. Cela affectera surement les taux fixes 5 ans.

Info hypothécaire Québec 16.02.2019

Reduction de 0.50% sur le taux directeur. Voir si les banque suivront pour les produits variables. https://www.banqueducanada.ca//03/fad-communique-2020-03/

Info hypothécaire Québec 02.02.2019

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 2 mars 2020 La propagation du coronavirus a infecté des titres et des marchés financiers dans le monde entier. Mais ce que les marchés et les banquiers essaient vraiment de guérir, c’est la peur. Et le traitement de choix semble être une baisse des taux d’intérêt.... La pression monte sur une Banque du Canada réticente à réduire son taux d’intérêt directeur lors de sa réunion de mercredi, et au moins une fois de plus depuis le début de 2020. Les observateurs du marché ont estimé que la probabilité d’y parvenir est d’environ 2 sur 3. L’annonce par le président de la Réserve fédérale américaine, Jerome Powell, que la banque centrale américaine est prête à réduire à nouveau les taux pour maintenir l’économie en mouvement face au virus, ajoute à la pression. La Banque du Canada a cependant d’autres facteurs qui pèsent sur elle : une faible croissance de 0,03 % du PIB au dernier trimestre de 2019; des prix du pétrole en chute libre; des blocus ferroviaires ayant entravé la navigation et le transport. Mais il y a certains problèmes qu’une réduction des taux ne réglera pas. La chute des prix du pétrole est susceptible de constituer un changement économique structurel. Les blocus sont largement considérés comme un problème temporaire, comme le mauvais temps ou une grève, qui s’autocorrigera sans l’intervention de la banque centrale. Et toute action de la Fed américaine sera largement discréditée comme étant simplement un geste pour donner l’impression qu’elle fait quelque chose . Certes, la réduction des taux d’intérêt atténuera probablement les craintes du marché, mais ce ne sera qu’un soulagement temporaire des symptômes.

Info hypothécaire Québec 17.01.2019

https://www.canadianmortgagetrends.com//bank-of-canada-in/

Info hypothécaire Québec 04.01.2019

https://www.forexlive.com//the-bank-of-canada-is-likely-to

Info hypothécaire Québec 27.12.2018

Les taux obligataires ont chuté, les taux fixes 5 ans devraient suivre

Info hypothécaire Québec 21.12.2018

https://www.tvanouvelles.ca//comment-negocier-pour-tirer-l

Info hypothécaire Québec 14.12.2018

Commentaire sur le marché des hypothèques résidentielles, semaine du 24 février 2020 Le gouvernement fédéral a annoncé sa réponse au chœur croissant qui réclame des changements à la simulation de crise hypothécaire. Le changement est mineur, mais il est généralement bien accueilli. À partir d’avril, le taux de référence pour la simulation de crise dans le cas d’un prêt hypothécaire assuré (dont la mise de fonds est généralement inférieure à 20 %) sera le taux hypothécaire ass...uré fixe médian hebdomadaire de 5 ans, majoré de 2 %. Au moment de l’annonce, ce taux aurait été de 4,89 % plus 2 %. C’est 30 points de base de moins que le taux de référence actuel de 5,19 % (plus 2 %), qui repose sur les taux hypothécaires fixes de 5 ans affichés par les six grandes banques. Ce changement permettra de répondre à une préoccupation majeure concernant l’actuelle simulation de crise mise en œuvre en 2016. Des critiques se sont plaints que les grandes banques gonflent artificiellement leurs taux affichés parce que ces taux servent à fixer les pénalités en cas de remboursement anticipé de prêts hypothécaires. Les taux contractuels réels sont en baisse depuis un certain temps, de sorte que le taux de la simulation de crise est de plus en plus décalé par rapport aux coûts hypothécaires réels. L’utilisation de la nouvelle formule permettra de faire évoluer la simulation de crise selon l’évolution du marché. L’organisme de réglementation fédéral des banques, le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), affirme qu’il envisage d’appliquer le même taux de référence pour sa simulation de crise aux prêts hypothécaires non assurés (soit les prêts dont la mise de fonds est supérieure à 20 %). À l’heure actuelle, la nouvelle formule ne fera qu’une petite différence, en réduisant d’environ 1 500 $ l’exigence relative au revenu pour être admissible à un prêt hypothécaire de 300 000 $. La plupart des observateurs du marché considèrent qu’elle est très utile aux acheteurs qui sont sur le point d’être en mesure de réussir la simulation de crise.

Info hypothécaire Québec 29.11.2018

L’ASSURANCE TITRES DÉCODÉE Certes, l’assurance titres ne coûte pas très cher, soit entre 125 et 700 $ en moyenne pour la durée où on est propriétaire. Mais fait-elle l’affaire? Pour comprendre l’assurance titres, il faut d’abord se munir d’un bon degré de concentration Contrairement aux autres assurances, elle ne protège pas le futur, elle protège le passé. Elle va prémunir l’acheteur d’une propriété contre un problème passé qui pourrait éventuellement lui causer des dommag...Continue reading

Info hypothécaire Québec 22.11.2018

Hier, le ministre des Finances, Bill Morneau, a annoncé des modifications au taux de référence utilisé pour déterminer le taux minimum admissible pour les prêts hypothécaires assurés, également connu sous le nom de test de résistance ou simulation de crise . Ces changements entreront en vigueur le 6 avril 2020. Le nouveau taux de référence sera le taux hypothécaire fixe assuré médian hebdomadaire sur cinq ans, calculé à partir des demandes d’assurance hypothécaire, plu...s une majoration de deux pour cent (2 %). En outre, le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) a annoncé hier envisage de mettre en place le même taux de référence du taux hypothécaire assuré fixe médian hebdomadaire sur cinq ans pour les demandes d’assurance hypothécaire, majoré de deux pour cent (2 %) pour les prêts hypothécaires non assurés, ce qui permettra d’aligner les limites de qualification minimales pour le marché des prêts hypothécaires assurés et non assurés. PHC a recommandé de dissocier les taux de test de résistance du taux fixe de 5 ans de la Banque du Canada depuis son imposition aux termes de 5 ans assurés en 2016. La fixation du taux référencé sur le taux contractuel assuré rendra le test plus dynamique et plus sensible aux taux du marché et des obligations. Nous remercions le gouvernement d’avoir reconnu ce problème et d’avoir apporté ces changements. Toutefois, nous considérons toujours que la majoration de deux pour cent (2 %) est un niveau de test onéreux étant donné les réalités économiques mondiales. La 5e journée sur la colline du Parlement de PHC se déroulera aujourd’hui à Ottawa. Plus de 50 rencontres sont prévues avec des députés, des sénateurs et des hauts responsables politiques. Nos membres bénévoles remercieront le gouvernement d’avoir procédé à ce premier ajustement très nécessaire des conditions d’obtention d’un prêt hypothécaire au Canada. Ils continueront à demander des mesures de soutien supplémentaires pour les personnes les plus touchées par l’introduction de ces tests, les Canadiens aspirant à la classe moyenne et les futurs primo-accédants. Nous demandons notamment la réintroduction d’un amortissement assurable sur 30 ans pour les premiers acheteurs, et l’augmentation des multiplicateurs de revenu maximum dans le cadre du nouveau programme d’Incitatif à l’achat d’une première propriété. Nous continuerons de vous tenir au courant des développements.