Institut national de santé publique du Québec (INSPQ)
945, avenue Wolfe G1V 5B3 Quebec, QC, Canada

La #COVID19 a entraîné son lot de craintes, de stress et d’incertitudes dans la population. Les derniers résultats des sondages réalisés durant la pandémie indiquent notamment que : Depuis la fin de l’été, la détresse psychologique augmente et tend à atteindre des niveaux plus élevés qu’à la première vague, principalement chez les jeunes adultes de 18 à 24 ans. La santé mentale des personnes de 70 ans et plus semble moins affectée par la pandémie que celle des plus jeun...es. Les étudiants à temps plein sont ceux présentant le plus de détresse et d’anxiété. En savoir plus

#COVID19 Est-ce que le virus peut se transmettre sur de grandes distances, par voie aérienne ? À l’heure actuelle, aucune preuve directe ne démontre clairement que le virus reste en suspens sur de plus longues distances, au-delà de quelques mètres, comme c’est le cas pour d’autres maladies contagieuses telles que la rougeole ou la tuberculose. À noter toutefois que le risque de transmission au-delà de deux mètres est augmenté dans des espaces restreints, ventilés de fa...çon inadéquate, à forte densité d’occupants et lorsque la durée d’exposition est prolongée. Dans ces conditions spécifiques, la distance maximale à laquelle on peut être infecté demeure imprécise, mais il est peu probable que ce soit au-delà de quelques mètres. À retenir : le SRAS-CoV-2 se transmet principalement lors de contacts rapprochés entre les personnes, à moins de 2 mètres de distance, et prolongés durant plus de 15 minutes. Pour en savoir plus, consultez notre foire aux questions

#COVID19 Même s’ils ont eu une première dose du vaccin contre la COVID-19 en décembre, sept résidants du CHSLD Maimonides ont reçu un diagnostic positif à l’infection dans le dernier mois. Une situation qui, tout en étant malheureuse, est aussi prévisible , préviennent les experts en vaccination, qui appellent à user de prudence dans l’interprétation de ces infections. Le Dr Gaston De Serres, médecin-épidémiologiste à l'INSPQ, fait le point

#COVID19 Alors que le virus SRAS-CoV-2 cause une pandémie à travers le monde, les connaissances scientifiques sur ses modes de transmission évoluent en continu. Les données scientifiques actuelles permettent de dégager les constats suivants : 1 Le virus se transmet principalement par aérosols lors de contacts rapprochés entre les personnes, à moins de 2 mètres de distance, et prolongés durant plus de 15 minutes. 2 Même si la transmission lors de contacts rapprochés demeur...e la principale voie de transmission impliquée, une transmission par aérosols à distance peut également survenir. 3 Le risque de transmission du virus est augmenté dans des espaces restreints, ventilés de façon inadéquate, à forte densité d’occupants et lorsque la durée d’exposition est prolongée. Enfin, il est à noter que c'est la mise en œuvre d’un ensemble de mesures de prévention qui permet de limiter le risque de transmission de la COVID-19 dans les milieux intérieurs. Celles-ci comprennent notamment la distanciation physique, le port d'un masque et la limitation des contacts. Pour consulter les dernières connaissances et recommandations

#COVID19 De nouveaux résultats mesurant les attitudes et les comportements de la population québécoise en contexte de pandémie sont maintenant disponibles. Ceux-ci présentent les réponses aux questions mesurant la perception des risques liés au virus, les comportements de prévention adoptés et les opinions et attitudes face aux mesures recommandées. Pour les consulter

#COVID19 Les données fournies par les fabricants montrent que la protection atteint 92 % deux semaines après l’administration de la première dose soit le temps pour l’organisme de bâtir sa défense après avoir reçu le vaccin. La deuxième dose d’un vaccin sert à prolonger l’effet de la première dose , dit le Dr De Serres, épidémiologiste à l’INSPQ. La réponse immunitaire peut s’atténuer avec le temps, mais ça ne se passe pas en quelques semaines. Ça ne passera pas de 92 % à 20 % en un mois.

Épidémiologiste à l’Institut national de santé publique du Québec, Gaston De Serres a été l’une des voix scientifiques québécoises qui nous ont guidés à travers la crise du SRAS-CoV-2, rapporte Isabelle Hachey dans une chronique de La Presse consacrée aux personnalités qui ont marqué l’année 2020.

L'augmentation des températures moyennes causée par les changements climatiques n'empêche pas la possibilité d’avoir des vagues de froid intense ponctuelles. En fait, selon nos experts, celles-ci seraient encore plus dangereuses pour la santé des populations étant donné l’éventuelle perte progressive de l’acclimatation au froid. Pour consulter notre rapport mis à jour sur les indicateurs liés au froid

#COVID19 L’hiver est une période propice à l’isolement et à la sédentarité, qui peuvent être durement vécus, spécialement en temps de pandémie. Dans ce contexte, il est important d’encourager le transport actif et la pratique d’activités extérieures, car ceux-ci ont de nombreux bénéfices sur la santé physique et mentale. Pour consulter les recommandations de nos experts afin de favoriser la pratique de la marche ainsi que des activités hivernales sportives et récréatives en temps de COVID-19

#COVID19 En prévision de l'arrivée imminente de la neige et afin de protéger la santé des travailleurs du déneigement et de l’entretien des liens routiers fonctionnels, il est demandé aux employeurs et employés de respecter certaines mesures de prévention. Pour prendre connaissance de notre document de recommandations mis à jour récemment

#COVID19 De nouveaux pays ont été ajoutés aux graphiques de comparaisons internationales des cas (graphique 5.3) et des décès (graphique 5.4). Pour les consulter https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees Le choix des pays retenus est expliqué à la page sur la méthodologie des données https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees/methodologie

La Semaine de prévention des dépendances, qui a lieu cette année du 15 au 21 novembre 2020, a pour objectif de réduire les méfaits liés à la consommation d’alcool et d’autres drogues. Une récente étude de l'INSPQ démontre une évolution positive des attitudes et des perceptions de la population envers les consommateurs de drogues et les programmes de réduction des méfaits depuis les 20 dernières années. Cela dit, les efforts pour informer, sensibiliser la population et ...réduire la stigmatisation envers les consommateurs de substances doivent être poursuivis afin de faciliter leur recherche d’aide et leur permettre d’obtenir les services de qualité dont ils ont besoin. Pour consulter nos dernières publications sur le sujet et pour avoir un aperçu des activités organisées au Québec et au Canada en lien avec cette semaine thématique

#COVID19 Pourquoi continuer à garder nos distances, porter le masque, se confiner? Comment comprendre l'imposition de mesures restrictives alors que le nombre d'hospitalisations quotidiennes se chiffre à quelques dizaines seulement? À la recherche de réponses, Découverte s'est entretenu avec Mathieu Maheu-Giroux, chercheur à McGill University et Marc Brisson, professeur titulaire à l'Université Laval, deux collaborateurs de l'Institut national de santé publique du Québec.

De nouveaux résultats mesurant les attitudes et les comportements de la population québécoise à l’égard des mesures recommandées par les autorités en contexte de #COVID19 sont maintenant disponibles. Pour les consulter

Comment s'y prendre pour collaborer efficacement avec le milieu municipal? Que vous cherchiez à établir un nouveau contact avec une municipalité ou à entretenir une collaboration existante, le guide pratique du Centre de collaboration nationale sur les politiques publiques et la santé (CCNPPS) vous propose un parcours adapté à votre situation. Les conseils présentés s'appuient sur l'expérience des principaux intéressés : élus, fonctionnaires municipaux et acteurs de ...la santé publique impliqués dans des collaborations. En savoir plus

#COVID19 On doit s’inquiéter de ces réservoirs animaux, surtout s’il s’agit d’espèces élevées en grand nombre, comme les visons. On devra surveiller de près les changements génétiques que subira le virus qui les affecte. Toutefois, la majorité des changements génétiques qu’entraînent ces mutations n’ont habituellement pas d’impacts négatifs pour les humains, parce qu’ils surviennent dans les parties non codantes du génome du virus. Elles sont le plus souvent sans conséquence , explique le Dr De Serres, épidémiologiste à l'INSPQ.