Kesserwan Arteau
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Quelle est la limite entre être un gestionnaire exigeant et harceler ses employés ? Karina Kesserwan répond à cette question dans La Presse de ce matin. Donc, pour tracer la ligne, on demande : qu’est-ce qu’une personne raisonnable, comme gestionnaire, ferait pour obtenir des résultats professionnels adéquats, dans un contexte de saine gestion, contrairement à une personne déraisonnable ?... Elle ne crierait pas. Elle ne lancerait pas d’insulte à quiconque, précise Me Kesserwan. Elle n’aurait pas de propos offensants, blessants, humiliants. Elle ferait connaître ses exigences en privé, dans le calme, clairement. Est également citée dans l’article une collaboratrice de Kesserwan Arteau : Être exigeant, ce n’est pas du harcèlement , résume Stéphanie Rivier, psychologue du travail, qui fait notamment de la formation, avec Me Kesserwan, pour aider les gestionnaires. Mais il est évident qu’il y a des mots acceptables et des mots inacceptables. Les experts s’entendent sur le fait que ce sont souvent des systèmes à l’intérieur des milieux de travail qui doivent être réajustés. En lien avec les nouvelles réalités amenés par la COVID-19, nous avons d’ailleurs mis en place une nouvelle formation pour comprendre les risques du harcèlement en télétravail et les prévenir. Pour plus d’informations ou inscrire votre organisation: http://kesserwan.com/f/formation-teletravail-et-harcelement

Minnie Grey grew up in the Inuit region of northern Quebec watching her mother who was a caretaker and a midwife. Grey herself got involved in health care almost 30 years ago and is now the executive director of the Nunavik Regional Board of Health and Social Services (NRBHSS). She said being involved in health care is her passion. ... "I really do care about the services that being provided to Inuit are culturally relevant, that Inuit understand the system and that health care is provided in their language," said Grey. Grey said it's been a rough few months in the region since COVID-19 began with one community having 14 cases and two others having one each for a total of 16 in the region. "We got through it and we're now COVID free," she said. "We're still very, very busy to ensure that our public health guidelines are in place in order to keep our people safe."

Le grand chef Constant Awashish a pris bonne note des préoccupations exprimées par la commission d'enquête qui, dans son rapport publié vendredi, estime que des bonifications sont nécessaires avant que le projet ne puisse être autorisé. Ça, c'est venu un peu nous rassurer par rapport au fait que nous n'avions pas été entendus comme il avait été prévu de l'être lors des audiences du BAPE, a-t-il confié en entrevue à Radio-Canada vendredi soir.

Bien que les Atikamekw ne s’opposent pas au projet minier Matawinie dans la région de Saint-Michel-des-Saints, ils exigent d’être consultés. Ils estiment que le rapport du BAPE serait incomplet s’il n’inclut pas leurs voix. La Nation Atikamekw a déjà signé une entente d'avant-projet et est en négociation d’une entente sur les répercussions et les avantages avec l'entreprise Nouveau Monde Graphite.