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Massothérapeute Julie Beaudoin 08.06.2021

Super texte de Stéphane Laporte Le problème, ce n’est pas qu’une personne aime quelqu’un de son sexe, de l’autre sexe, de son ancien s...exe, ou de son sexe à venir. Le problème, ce n’est pas d’être hétérosexuel, homosexuel, transsexuel, bisexuel, métrosexuel, allosexuel ou aurevoirsexuel. Le problème, c’est de ne pas s’aimer. De ne pas s’aimer soi-même. D’être tristesexuel. Tous les drames sont causés par ça. Des petites chicanes aux tueries. De ce que l’on fait aux autres parce que l’on ne s’aime pas soi-même. Le premier coming out de tous les humains, ça devrait être : J’ai une nouvelle à vous annoncer Je m’aime ! Après, tout irait mieux. Mais avant, faudrait savoir ce que c’est, s’aimer. S’aimer vraiment. S’aimer, ce n’est pas penser qu’on est le meilleur. Qu’on est plus beau que les autres, plus fin que les autres, plus intelligent que les autres. S’aimer, ce n’est pas se servir en premier. Et ne penser qu’à soi. Ça, ce n’est pas s’aimer. C’est se mentir. Parce que si chaque personne pense qu’elle est meilleure que les autres, c’est que tout le monde se ment. Et se mentir, c’est le contraire de s’aimer. C’est nier sa vérité. S’aimer, ce n’est pas avoir besoin de se mesurer aux autres pour apprécier qui l’on est. S’aimer, c’est réaliser qu’on est un mélange de nos parents, de notre famille, de notre société, de notre culture, de notre environnement, de nos amis, de nos lectures, de nos voyages, de notre isolement, de nos joies, de nos peines, de nos désirs, de nos présences et de nos absences. Qu’on est fait de tout ça. Qu’il n’y a pas deux personnes avec ce mélange-là. Même pas notre jumeau. Qu’on est unique. Donc incomparable. On n’est pas le meilleur des autres. On est le meilleur de soi. Si on s’aime. Parce que si on ne s’aime pas, on peut rapidement devenir le pire de soi. Et ça, ce n’est pas beau. S’aimer, c’est se dire à soi-même : Écoute bibi, on va passer la vie ensemble, on n’a pas ben ben le choix, alors on va tout faire pour profiter de chaque instant. Parce que ça ne dure pas longtemps. S’aimer, c’est épouser sa réalité. Et ne jamais se laisser tomber. Une fois qu’on s’aime, on fait quoi ? On va vers les autres, pour que cet amour-là fasse des petits. Dans tous les sens du mot. Admettons qu’on y arrive, qu’on réussit à s’aimer soi-même. Que tout s’éclaircit dans notre tête et dans notre cœur. Comment fait-on pour que les autres s’aiment eux-mêmes, aussi ? Parce que tant qu’ils en seront incapables, on risque d’en payer le prix. On fait quoi ? On les aime. On les aide. Et surtout, on leur sacre patience. Arrêtons de juger tout le temps ce dont l’autre a l’air, ce que l’autre fait ou ne fait pas. C’est le jugement qui ferme les gens. Qui les fait pourrir par en dedans. Et quand ça sort, ça fait mal. À tout le monde. Faut arrêter de mettre des gens dans des cases. Personne n’est bien dans une case. C’est trop étroit. C’est peut-être rassurant. Ça fait ordonné. Mais ça fausse toutes les données. Quand on joue au hockey, on a besoin de savoir qui fait partie de quelle équipe. Pas dans la vie. Dans la vie, on est tous dans la même équipe. Pas besoin de se catégoriser. De s’ajouter des préfixes. On est tous sexuels. C’est clair. Surtout l’été. Après ça, soyons-le avec qui on veut, on ne s’en portera que mieux. Bien sûr, il faut créer des organisations pour défendre les groupes opprimés. Mais il faut viser le jour où l’orientation sexuelle ne sera pas plus provocante que l’orientation musicale. Je vais savoir si tu aimes Brahms ou Bieber si je prends le temps de te connaître. Si je ne le prends pas, écoute qui tu veux. Ça ne change rien à ma musique à moi. Je vais savoir si tu aimes embrasser les gars ou les filles si je prends le temps de te connaître. Si je ne le prends pas, embrasse qui tu veux. Ça ne change rien à ma sexualité à moi. Pour dominer les peuples, rien de mieux que de leur faire croire que leur malheur est dû aux autres. À une race. À un sexe. À une classe. Ça rassemble. Et ça fait oublier que leur malheur est dû à ceux qui les dominent. On n’en sort pas. Des gens qui s’aiment s’unissent avec des gens qui les aiment. Des gens qui ne s’aiment pas s’unissent avec des gens qui ne les aiment pas. Faut s’aimer. S’aimer à 1, à 2, à 100, à 1000, à 8 millions, à 8 milliards.

Massothérapeute Julie Beaudoin 04.06.2021

Voici une petite vidéo intéressante pour les amateurs de sauce!

Massothérapeute Julie Beaudoin 22.05.2021

Le courage, sans peur, n'est pas du courage. C'est précisément parce qu'on ressent la peur, mais qu'on avance tout de même que c'est du courage. Nicole www.nicolebordeleau.com

Massothérapeute Julie Beaudoin 17.05.2021

LE TEMPS QU’IL FAIT La pluie tombe, alors j’attends qu’elle cesse. J’attends demain. Le lendemain, il pleut encore.... J'attends toujours. Le troisième jour, la pluie tombe encore. Demain comme aujourd'hui, la pluie pourrait continuer de tomber sur nos têtes. Après-demain, le mois prochain, tous ces lendemains n’existent pas. Il n'existe qu'un seul temps pour vivre, c'est "maintenant." Alors, cessons d'attendre que la pluie cesse. Cessons d'attendre à demain pour vivre. Aujourd'hui, peu importe le temps qu'il fait sur nos vies, soyons pleinement présents, intensément vivants. Bon week-end, chers amis. Nicole www.nicolebordeleau.com See more

Massothérapeute Julie Beaudoin 07.05.2021

Un petit conseil santé!