Mon Meilleur Ami
1736 blv.Maloney Est J8R 1B3 Gatineau, QC, Canada

À toi qui pense qu’être toiletteuse n’est pas un vrai métier ! Toi qui pense que mon travail n’a pas de valeurs parce que je n’ai pas obtenu de baccalauréat à l...’université pour pratiquer ce métier ou à toi qui pense que je n’ai aucun mérite à laver des fesses de chiens. Sache que ma réalité est bien différente de ce que tu penses et perçois ... Être toiletteuse c’est bien plus que vous ne pourrez jamais imaginer. C’est d’être heureuse de rentrer au travail chaque jour pour voir leurs petites faces , c’est d’avoir des horaires et des journées toujours différentes et ne jamais être certaine de comment elles vont se dérouler. C’est de rencontrer des nouveaux animaux constamment, de s’adapter à chacun d’eux, de comprendre leurs peurs et de s’efforcer de les rendrent le plus à l’aise possible. De les réhabiliter et de travailler en renforcement positif pour effacer leurs anciens traumatismes. C’est d’éduquer des chiots au toilettage et d’être fière de leurs progrès à chaques fois. Être toiletteuse, c’est prendre le risque de se faire blesser tous les jours car après tout ce sont des animaux et tôt ou tard nous nous ferons mordre ou griffer. C’est un métier qui est demandant autant mentalement que physiquement . Il requiert beaucoup de patience, de dextérité, d’avoir un côté artistique mais surtout de la PASSION ! Être toiletteuse, c’est souffrir avec eux quand on les voit négligés, mal entretenus ou blesser. C’est d’essayer de parler aux maîtres pour qu’ils voient le vétérinaire avec toutou car on soupçonne une otite purulante, une dermatite, une gingivite aiguë ou un mal soudain quelconque. Parce qu’on va se le dire, évidemment, nous ne sommes pas vétérinaire mais avec l’expérience on vient capable de voir s’il y a quelque chose d’inquiétant ou non. C’est aussi de partir le soir dans son auto avec le coeur gros en pensant à eux et en souhaitant qu’ils guérissent au plus vite. C’est de s’attacher à eux ainsi qu’à leurs maîtres et ne pas être capable de retenir ses larmes quand ils nous annoncent que notre petit client poilus est parti sur le pont de l’arc en ciel ... Mais c’est aussi d’être fière de les avoir métamorphosés, de les avoir rendus tout beaux et propres ! De les avoir soulagés de leurs manteaux tissés trop serrés qui les agaçaient ou d’avoir coupé leurs griffes trop longues.. Ou encore, d’avoir trouvé le shampoing parfait pour leurs types de peau et poils et de les voir tout fiers et heureux à la fin avec leurs foulards ou petites boucles de fantaisies. Ce n’est pas toujours rose c’est bien vrai, mais en bout de ligne, je n’ai pas l’impression d’avoir travaillé une seule journée en 15 ans de carrière parce que c’est moi qui a le plus beau métier de la terre... Je suis Toiletteuse ~Julie Simard~ Vie de toiletteuse tient à remercier l’auteur de ce texte, Julie Simard, que je n’ai qu’embellie et partagé

Le saviez-vous? Saviez-vous qu'une toiletteuse coupe en moyenne 46 000 griffes par année? Qu'elle doit quotidiennement travailler avec la psychologie de multiples chiens ayant chacun leur personnalité, leur peurs, tous éduqués de différentes façon? ... Savez-vous que physiquement elle doit rester de nombreuses heures debout, souvent dans des positions très inconfortables, afin de faire un beau travail tout en respectant l'animal qui lui bouge constamment. Avoir les bras (ou autre partie du corps) avec des marques de griffes ou même de morsures... Ne pensez surtout pas que son travail est facile et qu'il suffit simplement d'aimer les animaux, oh que non , il faut être passionnée!! Il faut connaître le chien sous toutes ses coutures, sa psychologie et sa morphologie. Il faut être capable de rester calme tout au long du toilettage de l'animal, et ce même lorsqu'il y a des facteurs anxiogènes qui tentent d'entrer dans la "bulle" que celle-ci à crée avec l'animal, car elle se soucit de son confort. Ce qui rend une toiletteuse heureuse, c'est de libérer un animal de ces petits malaises : d'un noeud ( ou plusieurs ) qui lui tire la peau, d'une peau irritée, d'un sous-poil feutré qui le gêne dans ses mouvements ou qui peut lui causer une dermatite, d'une masse, de parasites, de douleurs ou d'une otite que son maître n'a pu constater et qui grâce à nous se rendra chez le vétérinaire pour y être soigné .. Mais surtout que le chien va sortir de son salon beau et propre, qu’il recevra pleins de câlins et d’amour , qu’il sera alors au comble de son bonheur! C'est ça LE vrai métier de toiletteuse Texte modifié de l'original du blog "Vie de toiletteuse". Merci!

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Hugo adore ses deux chiens cane corso : Hunter, un mâle de 2 ans, et Shadow, une femelle de 8 mois.

N’OUBLIEZ PAS DE COUPER VOS CORDES AVANT DE JETER VOS MASQUES À LA POUBELLE. * Pour ceux et celles qui utilisent des masques jetables (même après les avoir jeté dans les poubelles, un coup dans les décharges il y a encore des grands risques pour les animaux.) www.vcreation.shop

Aidez-nous à sauver des Dobermans! * MISE À JOUR: Les Dalmatiens peuvent aussi participer à l'étude, sachant que environ 12% des Dalmatiens sont négatifs). Savi...ez-vous que les Dobermans ont un groupe sanguin particulier? Contrairement au reste de la population canine (i.e. près de 98% Dal-positif), près de 50% des Dobermans sont "Dal-négatifs". Il peut donc s'avérer extrêmement difficile de trouver du sang compatible pour les Dobermans Dal-négatif, limitant la capacité des vétérinaires à leur sauver la vie en cas d'anémie. L'objectif de notre étude est de valider un test rapide et disponible en clinique (typage sanguin Dal) afin de garantir à votre chien une prise en charge optimale et sécuritaire. C'est là où nous avons besoin de vous et surtout, de votre compagnon à quatre pattes ! La participation est simple: une prise de sang réalisée sur rendez-vous au Centre hospitalier universitaire vétérinaire. Ce projet vous permettra entre autres de connaître le groupe sanguin Dal de votre chien. Votre compagnon sera également récompensé par des friandises pour sa courageuse participation! Si vous êtes intéressé à participer, veuillez contacter la Dre Emilie Véran, résidente en médecine interne des animaux de compagnie, par courriel à [email protected] Merci !