Tête De L'art
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Fragmentation , notre première séance photo du Jardin des Délices. Concept : Margo Ganassa Photographe : Jacques André Barette
_________________________________________ +Photographe : Jacques-André Barrette +Modèles : Margo Ganassa et Marlène Gautier + Concept : Margo Ganassa + Retouches : Persephone Styx... - Montréal, février 2019 - See more
"LAÏS : Je vis avec mes souvenirs, mes chimères aussi. Je parle avec eux et ils vivent avec moi, comme s’ils existaient en chair et en os." ______________ Photographe : Proginor photographe | Jacques-André Barrette Modèles : Margo Ganassa | Marlène Gautier... Retouches : Persephone Styx . Montréal, février 2019 See more
"C'est l'écoute du silence qui me fait me souvenir que les voix qui vivent dans ma tête existent pas." ______________ Photographe : Proginor photographe | Jacques-André Barrette Modèles : Valérie Séguin... Retouches : Persephone Styx . Montréal, février 2019 See more
" MIHARCA : Tout est noir. Je marche droit devant moi sans but, sans rien voir. Tout est noir et je déteste Laïs. Je suis capable de prendre le noir dans mes mains, de le laisser couler entre mes doigts, de l’avaler, de m’en exfolier sur la peau comme le vieux savon jaunâtre de l’orphelinat. " .... Extrait d'un texte écrit par la comédienne Valérie Séguin dans le cadre d'un exercice exploratoire. ___________________________ Jacques-André Barette Montréal, février 2019 See more
Valérie Séguin aime la couleur rose et le dadaïsme. Elle est à sa dernière année de baccalauréat en études littéraires à l’UQÀM, avec une concentration en japonais. Son chemin de vie s’embrouille d’une fumée indigeste et de morceaux de porcelaine brisée. Elle y marche à l’aveuglette, sans savoir où aller. Mais elle porte sur sa peau, inconditionnel et ardent, son amour pour l’art. Les mots, la danse, le piano, la peinture et surtout la scène, qu’elle tient dans son cœur depu...is son enfance, façonnent qui elle est aujourd’hui. Dans le Jardin des Délices, elle a interprété le rôle de Miharca, qui lui a permis d’explorer une folie viscérale en son for intérieur qu’elle n’avait jamais soupçonné, précisant ses intérêts artistiques le surréalisme, le féminisme, la poésie, l’expérimental, la métaphore, le cru, et la création, infinie. Elle cherche l’audace et la beauté putride d’artistes comme Judy Chicago, Jun Togawa, Seiko Ômori ou Louis-Ferdinand Céline. La percée traverse son corps, s’infiltrant dans ses intestins et ses poumons, elle ouvre les yeux, pailletés d’escarbilles. Elle veut créer, créer pour toujours avec amour, jusqu’au bout de la nuit.
Amoureuse du théâtre depuis toute petite, Margo a plus d’un as dans sa manche ! Avec sa formation en musique (Chant, Piano, clarinette et plus récemment, le Handpan ), son travail comme modèle et sa formation presque achevée en Scénographie à L’UQAM, elle entame, à l’automne 2020, sa 1ière année au Conservatoire d’Art dramatique de Québec, profil Jeu. Elle écrit également un roman (à ce jour inachevée), ainsi que plusieurs ébauches de performances, que vous aurez peut-êtr...e la chance de découvrir dès la fin de la pandémie. Pour plus d’information sur ses formations, ses expériences, ou pour aller voir son travail comme modèle et comédienne, vous pouvez vous référez à son site web : www.ganassart.com Nouvellement Vice-présidente et trésorière pour Tête de l’Art, elle a un amour presque étouffant pour ces deux chats, Floki et Lagherta. Sur le projet Le Jardin des Délices , c’était la conceptrice derrière le son, l’éclairage, les décors, et les costumes. Elle interprétait également le rôle de Célestine. Spécialisée dans la photo alternative et les créatifs, elle s’intéresse principalement au théâtre de recherche-création, politique, féministe et surréaliste. Elle aime les performances multidisciplinaires, le corps en mouvements et le glauque. Le théâtre socialiste, féministe et le théâtre de création collective des années 70-80 sont ces principales inspirations, tout comme l’est Marina Abramovich. Elle a soif d’images percutantes, choquantes, vraies, affreusement belles. Mise à nue, je suis à la merci de l’art présent, éphémère et pourtant, omniprésent .
Photographe : Nicolas Gariepy
En cette funeste période de confinement, on repense à la prison psychologique dans laquelle Laïs demeurait enfermée.